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Notes sur le désert et la désertification (2e partie et fin)
Publié dans El Watan le 25 - 09 - 2006


IV Colonasibilité et post-colonasibilité
En Algérie durant la période coloniale, l'Erg occidental était connu pour ses gisements miniers, représentait un lieu de travail pour les riverains, et même ceux venus d'ailleurs (les différents bidons). L'erg oriental était le domaine des immenses oasis dattière et hydraulicienne. Les hydrocarbures vont éclipser progressivement ces édens, et devenir après l'erg occidental le premier gisement minier d'importance nationale, qui absorbe une grande quantité de travailleurs mais aussi « d'oxygène citoyen » nécessaire au compter sur soi en terme sociopolitique et économique, à l'échelle de tout le pays et l'enfonce à ne pas en douter, dans une nouvelle dépendance insidieuse post-coloniale. Le territoire national est un exemple typique de désarticulation « socio-géographique anachronique ». La régionalisation beylicale précoloniale, subdivisant le territoire national en entités verticales cloisonnées (ouest, centre et est), était conçue pour des stratégies de centralisation du pouvoir, et de culture de domination tribale en perpétuelle recomposition sécuritaire « frontalière », provoquée sciemment par les luttes intestines entre cheraga et ghraba d'un même douar des fois. L'urbanisation « éco-utilitaire » du littoral maghrébin entamée par la colonisation française, à la fin du XIXe siècle et au cours du XXe siècle pour le tell, et à un faible degré dans les hauts-plateaux sahariens montrait, en illustrant on ne peut mieux, la vision d'un Sahara considéré comme un sous-continent figé, non « explorable » et encore moins urbanisable. L'exotisme « datto-oasien et de caravansérail », représentait l'unique intéressement sur ces lieux. Depuis le milieu du XXe siècle, cette vision changea radicalement, et déterminera la longue guerre d'indépendance nationale, avec ses conséquences sur le contrôle des gisements d'hydrocarbures pour notre pays, et celui territorial pour d'autres. Pour éviter des revirements surprenants, comme ceux vécus dans la douleur par le passé, et jusqu'à aujourd'hui, il devient impératif d'engager des reformes socio-territoriales, et pas seulement comme habitude conjoncturelle liée à d'autres considérations charcutières « politico-environnementales », mais par des mesures pertinentes, de portée à long terme et qui osent développer harmonieusement et conséquemment les centres peuplés dans le Sahara et les hauts-plateaux, et surtout à promouvoir d'autres qui peuvent devenir les nouveaux poumons d'oxygénation citoyenne, et de motivation pour les jeunes d'aujourd'hui et de demain. La question qui demeure posée, c'est comment arriver à cet état d'esprit entrepreneur, cet engouement digne des grandes entreprises humaines qu'ont connues certains peuples. Il suffit tout simplement de bien oser et agir, sans préjugés de quelque nature que ce soit. C'est-à-dire multiplier rationnellement et participativement, des noyaux d'entités socio-territoriales, responsables, consistantes, « auto-sécurisables » et expansibles là où les conditions le permettent. C'est en quelque sorte, une colonisation citoyenne de peuplement et d'exploitation rationnelle du territoire, notamment ses milieux naturels régénérables, qui sera permise sans limites d'accès. Les pesanteurs rentières actuelles doivent s'éclipser définitivement pour l'intérêt suprême de la nation, devant les vigoureuses et intelligentes initiatives librement formulées et libératrices, des jeunes énergies enclines à ce destin « messianique », qu'il faudrait cultiver par une pédagogie spécifique à tous les niveaux culturels de la société. C'est la meilleure façon de remplacer les richesses minières éphémères, épuisables à terme (voir celui de l'Erg occidental et pour quelques petites décennies, l'oriental), par celles des humains : Une nouvelle « race d'Algériens et d'Algériennes », du troisième millénaire, qui oserait extraire les richesses minières vierges hors hydrocarbures, inestimables sur de millions de mètres cubes et de tonnes. Une race d'Algériens (iennes) qui pourrait construire des universités, et des centres de recherches à « ciel ouvert »au sein des oasis multivitales dans et pour le Sahara ; et pour tous ses admirateurs mondiaux, et d'apporter de l'aide humanitaire désintéressée aux habitants limitrophes. Le tout, dans un contexte géostratégique apaisé intelligemment, par le biais d'infrastructures structurantes constamment attirantes, novatrices, facilitatrices, et pourquoi pas intégratrices des bonnes volontés et énergies constructives et productives, des ethnies limitrophes en mouvements existentiels. Ce sera, en quelque sorte, des pôles de développement intégré et intégrateurs des espoirs et aspirations nationales, et transfrontalières (A titre d'exemple nous notons le gazoduc transsaharien népadien). Le prochain découpage territorial en voie d'instauration, qui a été annoncé par M. le Ministre de l'intérieur (El Watan du samedi 16 septembre 2006), dénote ce souci de « décentralisation saharienne », qui vise une appropriation réelle, physique, des mécanismes spatio-sécuritaires liés à la consolidation de la souveraineté nationale sur nos contrées sahariennes. Cela est devenu vraiment indispensable, mais restera aléatoire s'il ne serait pas accompagné par d'autres mesures intersectorielles, mûrement réfléchies, et potentiellement agissantes pour développer spécifiquement ces milieux, et les préserver effectivement des dangers qui se profilent, et dont certains sont encore imprévisibles dans ces immensités dunaires. Afin d'harmoniser les efforts dans ce sens, et ne pas se centrer sur quelques aspects et événements conjoncturels, il est fortement utile de se baser sur des approches pertinentes qui favorisent l'émergence durable d'un état d'esprit assaini localement, anticipateur et novateur en droits et devoirs, des possibilités « humano-territoriales » en présence... Dans ce sens, la présente approche proposée comporterait en priorité dans sa première phase à organiser une rencontre originale, dont l'objectif fondamental à atteindre serait d'arriver à cristalliser une nouvelle vision de développement effectivement durable, vis-à-vis de notre Sahara qui, faut-il le reconnaître, mérite beaucoup mieux pour services rendus déterminants à l'existence actuelle de la nation qui a failli se faire pulvériser maintes fois et qu'aujourd'hui est soumise à des aléas environnementaux et sécuritaires assez menaçants. Ce séminaire serait constitué de missionnaires et séminaristes avertis (y compris voisins et internationaux) et représentants solides de la société civile, tous aussi instruits que concernés, des wilayas actuelles du « Sahara profond », (Béchar, Tindouf, Adrar, Ghardaïa, Ouargla, El oued, Tamanrasset, Illizi). Ce conclave, de typicité éminemment spécifique aux déserts, durera le temps qu'il faudra sur plusieurs mois si nécessaire, afin d'édifier un schéma directeur décennal où toutes les approches, stratégies, programmes, plans et projets seront établis pertinemment sur une base où seule la valeur scientifique des prospections fouillées de terrain, dans tous les domaines, prévalent. Ce conclave, d'une portée originelle et décisive, doit aboutir à l'élaboration d'une Charte constitutionnelle de développement durable du Sahara. Pour concrétiser le contenu de cette Charte, une volonté politique aiguillonnée par la dimension historique d'une telle entreprise doit être dégagée pour que les choses soient bien clarifiées dès le départ de cette « rénovation saharienne », qui s'étalera sans relâche sur plusieurs décennies, et ou « l'argent alibi » ne serait plus considéré comme le seul moyen d'y arriver pour concrétiser cette ambitieuse aventure humaine, digne des grands peuples ingénieux et laborieux, ou le travail est considéré comme un démiurge, un « emblème génétique ». Et dans n'importe quelles conditions. Afin d'harmoniser les efforts physiques et financiers qui s'effritent actuellement à cause de la « gabégie managériale » des investissements, ainsi que de l'émergence de nouvelles revendications existentielles, et des comportements malsains en constante contagion intergénérationnelle, il devient urgent de planifier sereinement et d'une manière adéquate, un aménagement novateur des potentialités humaines et naturelles dans un cadre territorial judicieusement agencé, mieux inspiré historiquement, et généreusement clairvoyant pour le futur. La nation est en train d'entamer laborieusement un processus réformateur, touchant toutes les facettes de la vie du pays. L'enjeu est de taille, car il faut avant tout bien situer la portée, en associant démocratiquement toute la société dans ses différentes composantes. Cependant, les moyens actuels et l'après-tragédie politico-nationale sont susceptibles de réaliser beaucoup d'objectifs visés. Il faut savoir bien les utiliser, en engageant de véritables chantiers édificateurs d'institutions saines, et d'infrastructures réellement structurantes, loin des habituels calculs et rengaines politiciennes, qui sont potentiellement réfractaires aux changements radicaux. Dans ce cadre, si l'on arrive à tarir à un certain niveau seulement, les causes et effets des deux principaux maux du pays :
1) le gaspillage des énergies multivalentes et des espaces vitaux.
2) la corruption érigée en culture dominante. alors l'on pourra dire, avec soulagement, que ce sera une œuvre digne des sept merveilles du monde, et dont l'architecte serait considéré comme un monument « de la réconciliation morale d'un peuple », de ce troisième millénaire ; et mériterait une gigantesque statue érigée à son honneur, à côté du Maqam Echahid. Dans ce même sillage d'espérances, nous tenons à proposer à l'essai aménagiste suivant : Succinctement, l'idée de base est de concevoir un découpage géographique horizontal, lié intimement aux données historiques, écosystémiques, socioculturels et socioéconomiques, plus ou moins homogènes, tout en sachant que les choses ont historiquement évoluées, et évolueront encore dans chacune de ces contrées, et peuvent paraître former un bloc uniforme tout en mouvement d'ensemble, mais en apparence seulement. En vérité, leurs multiples attributs respectifs sont assez visibles, et chacune de ces régions horizontales vivent différemment les aléas de la nature, et des déséquilibres macro et micro-économiques, depuis les programmes spéciaux des années 1960 ; jusqu'à aujourd'hui, malgré les différentes infrastructures interdépendantes, et de proximité en présence (routes, rails, industrielles, énergétiques, sécuritaire, etc.). Une vision dégrossie des particularités respectives, dans le domaine de la lutte contre la désertification entre autres, se justifie par cette « approche écosystémique horizontale », et qui comporte assurément aussi, toutes les dimensions d'une bonne gouvernance du territoire national. La « régionalité » proposée s'articule comme suit :
Groupement territorial du littoral méditerranéen.
Groupement territorial de l'Atlas tellien.
Groupement territorial de l'Atlas saharien.
Groupement territorial de l'Ouest saharien.
Groupement territorial du Centre saharien.
Groupement territorial de l'Est saharien. Groupement territorial de l'extrême-Sud saharien. Ces collectivités régionales seraient structurées en les wilayas actuelles et à promouvoir, qui sont ainsi mieux agencées géographiquement. Ces groupements seront supervisés par des gouverneurs régionaux de haute trempe, et assurent toutes les missions dévolues par la République. Ces assises territoriales horizontales peuvent constituer des assemblées populaires élues (assemblée populaire consultative du groupement régional), issues des wilayas liées qui continueront leurs missions consacrées, et qui seront centralisées en 7 pôles judicieusement bien répartis. Les institutions nationales élues et étatiques resteraient en l'état, et ne souffriront d'aucun démembrement, sauf pour certaines missions gouvernementales qui seront concernées, par une décentralisation (déconcentration) appropriée au niveau de ces pôles, et qui permet à chaque gouvernorat une certaine autonomie fonctionnelle, notamment en matière de planification, et d'exécution des programmes de développement durable, réellement spécifiques à l'échelle du groupement. La consolidation « politico-sécuritaire » nationale et régionale, et la souveraineté nationale, ainsi intelligemment diffusées en profondeur, au sein des populations mieux ordonnées en nombre et en genre, sortiront plus réconfortées, et le pouvoir central se trouverait largement affermi dans ses fondements. Ce qui lui permettrait, entre autres, d'avoir réellement « les bras longs » et les coudées franches, pour lutter efficacement contre les principaux maux, ainsi confinés dans de nouveaux équilibres socio-policico-géographiques initiés consciemment, et donc maîtrisables au départ, pour être mieux éradiqués morceau par morceau, spécifiquement et compressiblement ; et qui sont aujourd'hui en « bloc vertical symbiotique parasitaire cloisonné », animés par des outils d'intelligences et d'influences fédératives, et de lieux centralisateurs flexibles à outrance, interne et externe, en « gangrène corrompuctive cervico-vertébrale » avancée, depuis longtemps, dans la normalité des choses de la vie, et « vasculée diffusément » à tous les niveaux de la société. Il peut apparaître que cette « mécanisation aménagiste » n'à aucun lien avec les fléaux en question qui, en fait, relèvent d'autres considérations de gouvernance. C'est vrai, mais cela aurait au moins le mérite de faire dissoudre dans un premier temps, les fameux équilibres déjà cités en haut-lieu, et qui semblent s'accommoder assez bien d'un « découpage cafouilleux et tribalisateur évolutif », socle nécessaire à leur survie parasitaire. Cette hardiesse dans la conception d'aménagement du territoire ainsi présentée découle pourtant d'une nécessité évidente, voire d'une réalité incontournable. Il paraît même, qu'il existe des projets officieux avec d'autres versions, dans ce sens. L'essentiel est que ces prospectives pertinentes, enfin d'essence nationale, ne seront pas étouffées au désavantage des véritables élites nationales, soucieuses par la bonne gouvernance du pays, au profit de celles qui demeurent ancrées au statut quo, et manquent ainsi de lucidité généreuse pour l'avenir, car obnubilées par des destinées personnelles immédiates, mais assurément éphémères car autodestructrices, parce que sourdes aux bourdonnements insistants du peuple, et de ses élites sincères. Nous tenons à ajouter que les pays prévoyants (risques de séismes endémiques, de frictions frontalières pouvant générer de conflits dangereux pour leur unité nationale et autres catastrophes naturelles récurrentes, etc.), qui ont réussi aussi leur développement et assurent le bien-être des générations futures, sont les mieux gérés territorialement. En effet, il est vraiment dérisoire d'ouvrir un gros livret d'épargne pour les générations à venir, si on leur laisse en parallèle peu de choix en matière d'habitat au sens large du terme, et dont ses immensités territoriales ainsi charcutées profondément en longitude sont susceptibles de constituer, de par leur interperméabilité avérée et difficilement contrôlable, d'immenses problèmes. Cette vision aménagiste participe donc à réconcilier « généalogiquement et ombilicalement » les Algériens avec leur territoire national, plusieurs fois plus « grand » que la France, comme on l'avait appris dans les vieux manuels coloniaux d'histoire-géographie, et dont le général de Gaule s'en est inspiré entre autres, pour dire à propos de notre indépendance : « Je leur souhaite du bon plaisir. » Dans un certain sens, le temps lui a donné raison. Enfin, il nous a semblé bénéfique, après toutes ces « pérégrinations désertiques », de conclure par une note de soulagement et de fierté, et ce, suite à de l'adoption récente par l'APN, de mesures plus répressives à l'encontre des braconniers invétérés, notamment orientaux, d'espèces animales menacées dans ces milieux naturels. Toutefois, on aimerait bien voir, à l'occasion, en ce mois de Ramadhan, dans un documentaire de l'ENTV, un « guépard algérien » s'élancer majestueusement, derrière une sublime Adax sahraouia en fuite éperdue, du côté de Tin Zaouatine. Avec mes remerciements les plus fidèles à votre journal.
L'auteur est Ingénieur agronome retraité - M'sila


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