En offrant, mercredi dernier la 1ère synthèse de la situation générale de la commune de Annaba, le wali a provoqué un débat passionné sur la place publique. Il est lié à son incapacité à sanctionner les auteurs. La polémique a commencé entre les élus et les membres de l'exécutif de wilaya au lendemain de cette synthèse. Au menu des discussions, la position du vice-président chargé de l'environnement. Ce dernier s'est montré paradoxalement plus disposé que son président à prendre en compte les orientations du wali. Rappelons qu'à cette réunion, exécutif-élus APC à Annaba, les élus d'El Islah étaient absents à l'exception de quelques-uns de la branche dissidente. En réponse aux accusations de laisser-aller des affaires de la commune exprimées par le wali, le président de l'APC s'en est tenu à la rhétorique classique de : « La faute ne nous incombe pas ». Cela lui a valu la réplique du directeur de l'exécutif : « Il y a plusieurs manières de quitter un poste ».