Jeudi dernier, le siège de la municipalité de Bab Ezzouar a accueilli les représentants de 54 associations représentant la société civile. L'objet que s'est assigné cette assemblée élue, qui a organisé cette rencontre en collaboration avec l'association El Kalâ pour la protection de l'environnement, semble avoir été atteint, puisque dans son intervention d'ouverture, le P/APC n'a pas hésité à faire assumer à chacun ses responsabilités. Il a en outre mis l'accent sur tous les points noirs de la commune. « Ce ne sont pas des extraterrestres qui ont créé des décharges publiques sauvages dans nos cités », dira-t-il. Il a aussi interpellé toute la société civile présente, entre autres les associations de quartier et les imams des mosquées pour agir en conséquence et redonner une image propre à la commune. Lors de cette rencontre, plusieurs établissements étaient également présent. Parmi eux, la DGSN, l'OPGI, la Protection civile, la santé, les imams de toutes les mosquées, des inspecteurs de l'éducation, les EPIC de la wilaya d'Alger, les subdivisionnaires des travaux publics, de l'hydraulique et de l'urbanisme, les associations des parents d'élèves, les directeurs d'établissements primaires et secondaires en plus de plusieurs citoyens. « Cette action va en droite ligne avec l'arrêté 839 du 28 septembre 2004 du wali d'Alger, portant création d'un Comité de coordination chargé de l'hygiène, de la salubrité publique et de la protection de l'environnement. »