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Elections législatives : Les mises en garde du président du MSP
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Publié dans El Watan le 09 - 03 - 2017

Abderrezak Makri, leader du Mouvement pour la société et la paix (MSP), a mis en garde, hier, contre une éventuelle fraude amputant sa formation politique de ses véritables voix.
Makri est revenu, lors d'une conférence de presse, animée au siège de son parti, à l'issue du dépôt des listes de candidatures au niveau de l'administration, sur le parcours «historique» du MSP et surtout sur sa place dans la société algérienne. Le premier responsables du MSP est convaincu que son parti ratissera large et sortira vainqueur au lendemain du rendez-vous électoral du 4 mai prochain et ce, au vu, dit-il, de son potentiel et son étendue à travers le territoire national et même à l'étranger. «Nous pèserons dans la nouvelle composante de l'Assemblée.
Le MSP n'est pas né avec des moustaches. Il a des structures dans toutes les wilayas du pays et un ancrage dans la société. Nous avons recueilli des listes dans toutes les villes du pays, y compris à Tizi Ouzou où nos listes ont été soigneusement confectionnées. Le bureau de wilaya de notre parti a lancé la campagne de collecte des signatures et nous avons pu récolter 7000 voix dans la wilaya de Tizi Ouzou», précise Makri, allusion aux élections législatives de 2012, où le MSP n'a pas eu de siège en Kabylie, accusant ainsi le pouvoir de lui avoir «volé» ses voix.
«C'est là un message et des signaux que j'envoie au pouvoir. Si l'on n'obtient pas de siège en Kabylie, cela sous-entend que la fraude a atteint, encore une fois, son paroxysme et là, nous prenons à témoin l'opinion publique», tranche le conférencier. Il rappelle que son parti a toujours été victime de la fraude, que ce soit en 1995, en 1997 ou dans les années 2000. Pour la réussite de cet examen, qualifié d'historique par le MSP, Makri interpelle le pouvoir, pour la énième fois, pour l'organisation d'élections honnêtes et transparentes.
«Nous avons toujours été spoliés de nos voix, mais nous ne baissons pas les bras, nous allons mener une campagne pour faire barrage sur le terrain aux fraudeurs à travers un contrôle rigoureux au niveau des bureaux de vote», promet Makri, dénonçant par la même l'intrusion de l'argent sale dans le jeu électoral. Pour le patron du MSP, les listes des milliardaires faussent complètement le jeu : «Je ne parle pas des hommes d'affaires ayant acquis légalement leur fortune, mais je parle du pouvoir de l'argent des maffieux... Je parle des hommes d'affaires dont la fortune n'est pas tout à fait saine.»
«Quel crédit aura une assemblée où le mélange entre l'argent sale et la politique est devenu, depuis quelques années, une pratique courante ?» interroge Makri. Pour le conférencier, le MSP est le seul parti de l'opposition qui a pu présenter 48 listes au niveau national et 4 autres à l'international, composées majoritairement de jeunes universitaires : 278 hommes et 147 femmes. Deux anciens ministres et deux anciens députés se sont portés candidats.
A la question de savoir qui sont les partis qu'il considère de l'opposition, Makri pense que ceux qui ne sont pas au pouvoir sont automatiquement dans une logique d'opposition. «Nous étions certes dans le gouvernement, donc un parti au sein du pouvoir, mais une fois sortis du gouvernement, nous sommes redevenus des opposants», lance le conférencier.
Par ailleurs, le président du MSP a reconnu l'existence de quelques mécontentements au sein de sa formation politique en raison de la désignation des militants du Front du changement comme têtes de liste dans plusieurs wilayas, notamment dans la capitale, où Abdelmadjid Menasra pilote la liste. Makri a considéré que ces réactions sont normales, vu le caractère très récent de l'alliance contractée avec le Front du changement. Une alliance qui ne répond pas à une conjoncture électoraliste, mais qui va durer. Après la réussite de la phase de la première étape, le MSP compte faire campagne pour faire connaître le programme de son parti.


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