Wilaya d'Alger : Remise des clés du programme LSP 1200 unités de logements sociaux participatifs ont été distribuées jeudi aux familles bénéficiaires issues de dix communes de la wilaya d'Alger. Lors de la remise des clés, cérémonie organisée à la salle des sports Tahar Ben Lakhdar, dans la commune de Chéraga, le wali d'Alger, Abdelkader Zoukh, a affirmé que la remise de 1200 clés aux familles bénéficiaires est une première étape d'un quota de 2000 logements LSP, ajoutant à ce propos que le reste sera distribué durant les prochains jours. «La cadence des chantiers de réalisation des nouvelles unités de logements a connu dernièrement une avancée, notamment au niveau du site des 1600 Logements à Draria, ce qui permettra aux bénéficiaires d'obtenir leurs logements dans les plus brefs délais», a précisé M. Zoukh. Les familles issues des communes de Chéraga, Sidi M'hamed, Aïn Benian, Bordj El Bahri, El Marsa, Dar El Beïda, Heraoua, Bab Ezzouar, Réghaïa et Birkhadem ont bénéficié de logements dans de nouveaux quartiers à Chéraga, un projet de 174 logements, Hammamet projet 44 logements, Draria projet 104 logements, Heuraoua 20 logements, Aïn Benian 150 logements, Bordj El Bahri 612 logements, Réghaïa 130 logements, Djenane Sfari 107 logements et Saoula 123 logements. Selon le directeur du logement à la wilaya d'Alger, Ismaïl Loumi, cette opération est la sixième du genre depuis juin 2016, ajoutant qu'à ce jour, 20 000 familles ont été relogées. En outre, «la wilaya d'Alger dispose de 42 000 unités LSP, dont 20 000 ont été livrées à ce jour, alors que le reste de ces logements est en cours de réalisation», a précisé M. Loumi. Commune de Bab Ezzouar: Des ralentisseurs à foison à la cité El Wouroud Les habitants de la cité El Wouroud, dans la commune de Bab Ezzouar, ont installé plusieurs ralentisseurs à l'entrée de la cité. Les automobilistes, qui rejoignent la cité par cette voie, mettent leurs véhicules à dure épreuve, car ces ralentisseurs sont abrupts, qui plus est non signalés. De nuit, les automobilistes, qui ne connaissent pas la cité, affligent à la suspension de leurs voitures de dures contusions. «Le nombre de ces dos-d'âne est ahurissant, d'où le désagrément causé aux voitures», disent les habitués de la route. «Les autorités locales sont appelées à faire leur travail en matière d'organisation de la voie publique. Si tout un chacun se mettait à installer des ralentisseurs devant chez lui, ce serait l'anarchie», ajoutent-ils.