L'hôpital se dote d'un scanner L'imagerie médicale de l'hôpital Les Frères-Khatib vient d'être dotée d'un scanner nouvelle génération. C'est le premier équipement du genre à avoir été introduit dans le secteur de la santé publique de Chlef et des wilayas limitrophes. Il est installé au niveau des services des urgences. L'appareil réalise quotidiennement une moyenne de 15 examens radiologiques. Du 1er janvier au 30 septembre dernier, il en a effectué 1 127, selon le Dr Slimani, spécialiste en radiologie, qui ajoutera que les malades examinés proviennent de tous les coins de la wilaya et même des régions limitrophes. « Nous travaillons en étroite collaboration avec les chirurgiens, les spécialistes et les réanimateurs de l'hôpital pour effectuer un diagnostic précis et assurer, par la même occasion, une prise en charge efficace des malades. Pour cela, nous devons veiller à ce que seuls les patients présentant des cas graves ou orientés par des praticiens spécialistes soient examinés en priorité », souligne-t-il. En plus du scanner, l'hôpital central dispose également d'un appareil d'échographie moderne qui lui permet de faire face aux exigences dans ce domaine. La Daïra d'Abou El Hassan veut sa polyclinique Les habitants de la Daïra d'Abou El Hassene, au nord-ouest de la wilaya, réclament leur polyclinique qui, d'après eux, a été détournée vers une autre commune. « Le projet était bel et bien inscrit pour notre commune et le choix du terrain à même été fait le 7 mai 2006 par une commission technique » écrivent-ils dans une lettre de dénonciation remise à la presse. La déclaration des comités de quartiers est confirmée par une correspondance du P/APC d'Abou El Hassan dans laquelle ce dernier invite le directeur de l'Urbanisme et de la construction de la wilaya à soumettre rapidement ce dossier au comité technique de la wilaya pour étude et approbation. Les plaignants affirment que ce n'est pas la première fois qu'un projet de réalisation d'une nouvelle polyclinique est détourné vers une autre destination. Deux autres opérations du genre ont, selon leurs dires, été délocalisées de l'agglomération sans aucun motif valable, ni explication officielle.