Yassalam ! Je viens d'apprendre qu'une petite fille de 12 ans a été violée par des adolescents. Ces derniers tenez-vous bien sont des élèves de la mère de la victime, professeur de lycée. Dès son entrée à l'école, l'enfant est nourri à la violence : humiliations, agressions physiques et verbales avec. Voilà le résultat ! Aucune sanction n'est prise à l'encontre de certains enseignants sans principes et sans scrupules. Des âmes sensibles ont essayé d'attirer l'attention des autorités, en vain. Dans une école du quartier, on a confié les enfants du préscolaire âgés de 5 ans à un dépressif qui donne des coups à la tête aux enfants avec une bouteille en plastique. Lorsqu'une enseignante d'un autre établissement a averti les responsables de la DE, ils lui ont fait remarquer qu'elle n'était pas parente de ses élèves et qu'à ce titre, elle n'avait pas le droit d'intervenir. Où allons-nous dans ces conditions ? Que faire pour changer les choses ? Et dire qu'ailleurs les enfants sont protégés même contre leurs parents. Merci de me lire. Mme Nadia Ben (Alger J'ai beaucoup apprécié votre article sur « l'exportation des neurones ». C'est dommage pour notre si beau pays ! Certains chefs, pas du tout à la hauteur, dirigent encore. Mais un jour viendra où la nouvelle génération réagira pour changer l'état des choses. Mme B. B. (Alger) Les agissements de certains « irresponsables » font fuir nos cerveaux et obligent notre pays à former nos post-gradués à l'étranger donc à saigner encore plus le pays de ses devises. Le gouvernement devrait proposer une loi qui punirait lourdement ces « irresponsables ». Si nous n'agissons pas de cette manière, nous ne serions plus que « la dernière roue du carrosse » par rapport aux autres nations et dépendant à 100% des étrangers. Souhaitons que les responsables conscients de cette hémorragie prendront à bras-le-corps ce problème. M. Khaled Malki