Eternels décombres à Aouinet El Foul La situation a été décriée à maintes reprises par les habitants de la rue du 20 Août 1955, plus connue par Aouinet El Foul, notamment dans les lieudits Aïn Freidja et Boursas où les décombres des bidonvilles demeurent la tache noire qui « empoisonne » le cadre de vie des riverains. Le site où cohabitent rongeurs et reptiles a été transformé par la force des choses en une immense décharge publique. Les autorités de la ville qui ont usé de tous les moyens pour déloger, depuis une année, les habitants avant de démolir des habitations menaçant ruine, n'ont rien fait pour nettoyer le site, oubliant leurs responsabilités envers les citoyens. Le site est un décor désagréable à voir car il se trouve juste en contrebas des deux nouveaux hôtels de luxe qui seront érigés à la place du « défunt » square Hadj Ali. Risques d'électrocution dans la banlieue L'écheveau des câbles électriques pendants à moins de deux mètres du sol sur le chemin passant à proximité du centre de loisirs de la cité Boussouf fait craindre des risques d'électrocution, surtout pour les enfants des habitations voisines, fréquentant quotidiennement cette route en direction des établissements scolaires. Cette situation qui prévaut dans plusieurs quartiers de la ville, à l'instar de Boudraa Salah, laisse apparaître l'aventurisme de certains citoyens qui n'hésitent pas à recourir aux piquages illicites, alors que Sonelgaz brille toujours par son absence. Pour rappel, un incident survenu à cause de ces réseaux anarchiques dans le bidonville Essalem, plus connu par la cité Bessif, a failli causer il y a quelques jours l'irréparable n'était-ces l'intervention efficace des agents de la Protection civile.
