Un auteur, une œuvre au CCF Le cycle Un auteur, une œuvre, se poursuit au CCF avec la programmation, aujourd'hui à 15h, d'une conférence intitulée « Arabesques, l'aventure de la langue arabe en Occident ». D'après le document remis à la presse par le CCF, la conférencière, Henriette Walter, professeur émérite de linguistique à l'université de Haute-Bretagne et directrice du laboratoire de phonologie à l'Ecole pratique des hautes études à la Sorbonne, a déjà publié de nombreux ouvrages dans le domaine de la linguistique. On citera L'aventure des langues en Occident et Le dictionnaire des mots d'origine étrangère, un ouvrage écrit en collaboration avec Gérard Walter. Le thème de la conférence du jour, qui retrace l'histoire passionnante de la rencontre entre l'Orient et l'Occident à travers la langue, a fait l'objet d'un livre coécrit avec Bassam Baraké, membre du Conseil supérieur arabe de traduction. Gare routière sans parking Cela va de mal en pis à la gare routière Est, où une pagaille indescriptible continue à régner au mépris des règles les plus élémentaires régissant la gestion d'une telle structure qui dessert, rappelons le, les quatre coins du pays. Dans un schéma assez souvent à la limite du tolérable, le pire du pire est sans conteste, l'absence d'un parking ou d'une quelconque aire de stationnement où il serait permis de garer son véhicule dans l'attente d'un bus ou d'un taxi transportant un ami ou un parent. Dans pareil cas, chacun se débrouille comme il peut pour dénicher un endroit où stationner. Mais, forts d'une consigne qu'ils appliquent avec un peu trop de zèle, des agents de police surgissent où que vous soyez pour vous signifier de déguerpir. 137 retraits de permis de conduire Pour le compte de la semaine écoulée et à l'échelle de la wilaya de Constantine, les brigades mobiles et les agents chargés de la circulation, ont procédé à 113 retraits de permis de conduire et à 24 mises à la fourrière. Les infractions ayant entraîné les retraits de permis ont trait, selon la cellule de communication de la sûreté, au non-respect du port obligatoire de la ceinture de sécurité, à l'utilisation du mobile au volant, ou à une conduite jugée dangereuse. Par ailleurs, 24 mises à la fourrière ont sanctionné des opérateurs versés dans le transport public. Des pénalités infligées pour réprime en règle générale, un défaut d'hygiène ou un non-respect des règles de sécurité. Néanmoins, dans ce lot figurent également des taxis fraudeurs.