Encore un drame à El Guemmas Un autre drame, qui ne sera pas le dernier, est survenu vendredi à 15h sur la voie ferrée qui passe à proximité de la cité El Guemmas. Agé de treize ans, l'enfant Z.M., violemment percuté par le train assurant la ligne Constantine-Alger, est mort sur le coup. Une mort violente qui a mis en émoi toute la cité d'El Guemmas. Faut-il rappeler encore une fois que la voie ferrée passant par les lieux n'est toujours pas protégée ? En dépit des accidents tragiques qui surviennent depuis des années, aucune autorité n'a pensé à installer au moins une barrière qui interdirait l'accès à des enfants qui rôdent tous les jours dans les parages, alors que des adultes inconscients donnent le mauvais exemple en traversant les rails, histoire de gagner quelques centaines de mètres en prenant un raccourci dangereux. « Vendredi 13 » sanglant Deux morts sont à déplorer dans un accident de la circulation survenu ce vendredi 13 avril sur la RN 20 au lieudit Zehana dans la commune de Aïn Abid. Il était exactement 9 h, lorsqu'une voiture (Atos) a fait un tonneau après une embardée pour se renverser et piquer droit dans l'oued. Malheureusement, les victimes L. A., 36 ans et K. D., 35 ans, toutes deux de sexe masculin, ont été tuées sur le coup. Les services de la Protection civile ont procédé à l'évacuation des cadavres vers l'hôpital de Aïn Abid. Il est à noter que les causes de ce terrible accident qui a coûté la vie à deux jeunes hommes, n'ont pas encore été déterminées. Beaucoup de facteurs peuvent en être la cause, entre autres, les intempéries de ces deux derniers jours. La rose et la fleur d'oranger à l'honneur Cirta retrouve ses alambics et renoue avec les essences florales. La rose aux exhalaisons sublimes et la virginale fleur d'oranger à la fragrance exquise s'effeuillant nonchalamment sur les sacs de jute sont proposées aux badauds à la criée. Les Constantinoises s'affairent et s'apprêtent au rituel « sacré » de la distillation. Jolie coutume que tout le monde est ravi de retrouver chaque printemps. Histoire de fêter les naissances cosmiques, de parfumer son café noir et d'orner l'incontournable « sinia d'elasr ».