Akbou : Les droits de l'homme en débat Dans le cadre du partenariat entre la section communale de la LADDH, nouvellement installée, et la fondation allemande Friedrich Ebert, un cercle de discussion autour de la notion des droits de l'homme a été organisé durant la journée du 5 juillet à la crèche communale d'Akbou. Ce cercle animé par MM. Amrani, représentant de la Fondation, Salhi et Bentizi, membres du conseil de la LADDH, Aït Yahia, membre du bureau national de la LADDH et Aboute, consultant auprès de la fondation, a regroupé des militants des droits de l'homme de la section locale et des représentants de la société civile. Lors de son intervention, M. Amrani a retracé l'historique de l'ONG, dont les objectifs sont, en substance, la formation, la coopération et le partenariat. Le syndicalisme, le mouvement associatif et la formation des journalistes sont les volets de prédilection de la fondation, a souligné l'orateur. M. Aït Yahia a mis en exergue le contexte historique caractérisé par le progrès scientifique et technologique dans lequel ont émergé les droits de l'homme. Plages de Boukhelifa : Six parkings concédés Six parkings des plages de Boukhelifa ont été mis en concession, apprend-on de l'APC. Il s'agit des parkings attenant aux plages El Maghra, Acherchour et Al Djabia. Cependant, la plage du PK10 reste toujours interdite à la baignade et ce malgré « les assurances » qui font croire aux riverains que son ouverture aura lieu au cours de cet été. L'absence d'un poste de secours et d'une piste qui mène à la plage en est la raison de toute évidence. Du produit de la concession de ces parkings, « l'APC de Boukhelifa n'en perçoit qu'une modique quote-part de 20% du montant global. Le tout revient aux Domaines, propriétaires légaux des terrains », explique-t-on. « Pourtant, ajoute M. Hammache, élu à l'APC, l'entretien et l'aménagement des accès menant aux plages sont à la charge de la commune. » A ce propos, il faut dire que dans la majorité des plages de la côte est de Béjaïa, les parkings dits « gardés » sont loin de répondre aux normes d'exploitation. Certains ne sont ni aménagés ni délimités. Hakim, gardien de parking à El Maghra, a affirmé qu'il s'est acquitté de près de 360 000 DA pour deux parkings après l'adjudication portant concession de ces espaces. « Les dossiers de candidature pour la soumission ont été soumis à des conditions rigoureuses », précise-t-il en déplorant, par ailleurs, « les difficultés rencontrées face à de nombreux automobilistes qui refusent de payer les frais d'accès à la plage ». Tigzirt : La casbah en photos L'Office national de la gestion et de l'exploitation des biens culturels protégés a coorganisé avec l'office de Tigzirt une exposition photos sur La Casbah d'Alger du 30 Juin au 10 Juillet au site archéologique de Tigzirt. Intitulée La Casbah protégée par Dieu, métiers de l'identité nationale, l'exposition a connu quelques problèmes d'organisation et a été retardée de deux jours. Une collection de 2000 photos, la majorité en noir et blanc, datant de 1800 à 2000 a été exposée par le photographe Sofiane Touati avec le restaurateur des lieux historiques, Abdenour Stiti et Razika Chili, étudiante en archéologie. Ces photos retracent l'histoire de la capitale et celle de La Casbah, en particulier. Elles montrent les différents aspects de la vie algéroise à travers différentes périodes historiques, notamment la période coloniale. Plusieurs sujets ont été abordés comme la femme, la tenue vestimentaire, les métiers traditionnels et les monuments de la capitale. Chaque monument raconte une partie de l'histoire du pays de la Grande Mosquée à la Grande-Poste, de La Casbah à Notre Dame d'Afrique. En outre, quelques documents historiques ont été exposés comme le journal officiel El Moubachir de 1882 en français et en arabe ainsi que des lettres contenant des messages codés et qui révèlent des vérités sur la période coloniale. Le public, en visitant cette exposition, a pu faire une promenade très enrichissante à travers l'histoire du pays de la période romaine à nos jours. Aït Zikki : Les meilleurs élèves récompensés L'association des parents d'élèves du CEM d'Aït Zikki ont organisé une cérémonie en l'honneur des candidats reçus à l'examen du BEM et des trois premiers élèves de chaque niveau. C'est en présence de nombreux invités de la famille de l'éducation que des cadeaux ont été distribués aux heureux lauréats du BEM dont l'établissement peut s'enorgueillir en arrachant la deuxième place à l'échelle de la daïra avec un taux de réussite de 40 % améliorant ainsi que son rang à l'échelle de la wilaya. En dépit des multiples difficultés d'ordre climatique (région située à 1400 m d'altitude) et d'éloignement des élèves, le CEM d'Aït Zikki ne cesse de progresser dans l'amélioration des résultats scolaires. Par ailleurs, les trois premiers élèves de chaque niveau,(1e, 2e et 3e AM) ont été également récompensés. L'assistance a salué la performance de l'école primaire d'Iguer Mehdi qui a obtenu 100 % de réussite à l'examen d'entrée en 1e AM.