Des dizaines de familles occupent, depuis la décennie meurtrière, la petite forêt située entre Bordj El Kiffan et Bordj El Bahri. Ce bois, autrefois paisible, est aujourd'hui l'abri de bandes de malfaiteurs et ces familles attendent toujours leur relogement par l'APC. Les autorités locales ne sont pas, apparemment, disposées à dégager un programme de réhabilitation de logement à leurs profits.Selon les services concernés, cela relève de l'administration des forêts puisqu'il « s'agit d'une occupation illicite d'un espace forestier ».