Le jeune émigré, enlevé le 7 août dernier près de Berkouka, dans la localité de Maâtkas (à 20 km au sud de Tizi Ouzou), a été libéré avant-hier vers 20h30, à l'entrée de la ville de Boghni, apprend-on de sources locales. Une rançon de 350 millions de centimes aurait été payée à ses ravisseurs qui appartiennent, selon des sources sécuritaires, à l'ex-GSPC.Le montant initial de cette rançon s'élevait au départ à un milliard de centimes. Les parents avaient affirmé leur incapacité de payer une telle somme qui a été revue à la baisse jusqu'à 700 millions. Les ravisseurs se sont finalement contentés d'empocher 350 millions, après avoir menacé à plusieurs reprises la famille de la victime de tuer leur son.