L'OPGI met en demeure les entreprises défaillantes L'entreprise spécialisée dans le bâtiment SOGCBAT est sur la sellette. Elle a été destinataire d'une mise en demeure, ce lundi, émanant de l'office de promotion et de gestion immobilière (OPGI). Cette mise en demeure concerne le chantier de réalisation, en gros œuvre, de 360 logements type logement social participatif (LSP). Cette action est motivée, selon l'OPGI, par l'abandon de l'entreprise du chantier situé à Chaïba, commue de Sidi Amar (Annaba). Une situation constatée lors de la récente visite d'inspection et de travail de Nouredine Moussa, ministre de l'Habitat, à Annaba. Il a menacé, lors de son intervention, les entreprises de la résiliation de leurs contrats, si elles n'accélèrent pas les travaux. Les chefs d'entreprises, quant à eux, ont avancé comme argument la cherté, et parfois la pénurie des matériaux de construction, principales causes du retard accusé dans leur chantier. L'unite postale de wilaya à Oued Forcha Bientôt, la cité Oued Forcha de la wilaya de Annaba bénéficiera d'un bureau de poste avec une unité postale de wilaya. C'est Algérie-Poste qui a lancé un avis d'appel d'offres national dans le but de choisir une entreprise pour le démarrage des travaux de ce projet. Avec la réalisation d'une unité postale de wilaya à la cité Oued Forcha, Algérie-Poste changera d'adresse. Elle emboîtera le pas aux autres directions de wilaya, telle la direction de la pêche, qui est passée à Bouzred Hocine, ou encore la direction du contrôle de prix (DCP) qui, du siège de la wilaya, s'est implantée à la cité Pont-Blanc. La direction des impôts sur la brèche La direction des impôts de la wilaya de Annaba a lancé une campagne de recouvrement de ses dettes auprès des commerçants et autres industriels. Ces derniers jours, elle s'est penchée sur le dossier d'un industriel connu sur la place publique, et dont la dette envers le fisc s'élève à plusieurs dizaines de milliards. Après l'avoir sommé de régler, rubis sur ongle, la totalité de la somme, la direction des impôts a pris à son encontre une mesure conservatoire. A en croire des sources dignes de foi, cet industriel risque de voir tous ses biens vendus par un commissaire priseur le 15 novembre 2007. Cette date butoir lui a été fixée, à défaut d'assainir ou de faire un compromis avec son créancier. Rappelons que la direction des impôts a exhumé plusieurs dossiers dans le but de les revoir, de les réviser et de les traiter, si besoin en est, avant la fin de l'année 2007.