Au stade du 1er Novembre existe un carrefour devenu un véritable cauchemar pour les automobilistes. Il est vrai que la circulation routière des grandes villes du pays est très dense et surtout difficile en certains endroits et autres points noirs. A Tizi -Ouzou, malgré les trois trémies érigées au centre-ville, la circulation reste difficile tant pour les automobilistes que pour les piétons. Ces derniers qui traversent dans tous les sens la rendent encore plus complexe tout comme les entrée et sortie du CHU Nédir Mohamed qui constituent avec le flux de patients et autres visiteurs qui « déferlent » de quatre wilayas limitrophes avec la vocation régionale de ce CHU. Il reste que le point noir pour la ville de Tizi Ouzou reste le carrefour du stade du 1er Novembre. Un véritable cauchemar pour les automobilistes. Reliant le centre-ville à la nouvelle ville avec sa dizaine de cités et ces deux pôles universitaires mais aussi les agglomérations et villages périphériques au sud de la ville de Tizi Ouzou, ce carrefour jouxtant une station de fourgons desservant toute la région des Ath Douala est décrié par tous les automobilistes qui font face à l'absence d'un service d'ordre mais aussi à l'incivisme d'autres automobilistes qui font du « pousse-toi que je passe » leur façon de conduire dans tous les sens. A cela, il y a lieu d'ajouter l'anarchie qui prévaut dans les transports en commun avec ces mini-fourgons qui chargent et déchargent leurs passagers à la demande de ces derniers, parfois sans se donner la peine de garer à un endroit dégagé mais le font en seconde, voire troisième position sans se soucier du reste des automobilistes qui suivent derrière. D'ailleurs, ces transporteurs sont souvent la cause de certains encombrements au centre-ville. Outre l'absence de policiers qui auraient pu éclaircir ce point noir, on ne comprend toujours pas pourquoi les feux tricolores, pourtant fonctionnels, ne sont pas mis en service en la présence d'un agent à l'effet d'habituer les usagers de ce carrefour à ces feux qui seront d'un grand secours pour les uns et pour les autres des habitués de ce point noir. Comme c'est notamment le cas au niveau des carrefours du 20 Avril et de la cité Djurdjura (Ex-Quillery) où les feux en question ont réglé le problème de la circulation même s'il se trouve toujours des « chauffards » qui « grillent » ces feux lorsqu'ils sont au rouge mais la circulation à ces niveaux là est moins pénible et moins stressante qu'elle ne l'est au carrefour du stade du 1er Novembre.