C'est sous le thème « Relation ministère public et police judiciaire » que s'est tenue, dernièrement, une journée d'étude au palais de justice de la wilaya en présence des autorités locales, des services de la police judiciaire et de la gendarmerie nationale, des gardes-côtes, des forêts, des douanes, ainsi que les brigades de répression. Le séminaire, qui était axé sur les droits de l'Homme et la lutte contre la criminalité, a abordé les différents types d'infractions et de délits, tels le blanchiment d'argent, consommation et commercialisation de stupéfiants, contrebande etc. « C'est afin de former les auxiliaires de justice que nous avons organisé cette rencontre et de revenir par la même occasion sur les dernières réformes du droit pénal au cours de la période 2001-2006 », a expliqué le procureur général lors de la conférence de presse. Et d'ajouter : « notre souci majeur, en plus d'appliquer la loi, est de préserver le droit des inculpés, c'est ce qu'on appelle la présomption d'innocence puisque personne n'est coupable jusqu'à preuve du contraire ».