Que se passe-t-il dans les universités algériennes ? A la Faculté d'électronique et d'informatique de l'USTHB, c'est la raison du plus fort qui règne, la politique du deux poids, deux mesures. Les enseignants n'ont pas le droit à la parole ; et dans le cas contraire, les sanctions tombent. Certains enseignants, en cours de finalisation de leur thèse de doctorat d'Etat se voient refuser leur demande de soutenance, sous prétexte que la revue dans laquelle sont prévus leurs travaux de publication n'est pas de renommée !Alors que les établissements voisins, à l'exemple de l'Ecole nationale polytechnique (ENEP), la même revue a été retenue pour la publication des travaux des enseignants. De nombreux problèmes gangrènent la Faculté d'électronique de Bab Ezzouar. Quant aux enseignants, ils ne savent plus à quel saint se vouer.