22 des 42 communes ont été déterminées comme zones éligibles au régime dérogatoire et donc concernées par des actions de promotion dans certains créneaux d'investissement. De la lointaine Ksar-Chellala à l'extrême est de Tiaret, à Takhmaret, à l'ouest, en passant par Meghila, Rosfa, Madna jusqu'à Aïn Dheb au sud, sont concernées. M. M. Seghier, directeur de la Planification et de l'Aménagement du Territoire, fait savoir « qu'il s'agit des zones qui présentent des atouts en plus de leur position de zones tampons entre les centres urbains et les conglomérats ruraux ». Ces entités sont concernées par des actions liées à l'amélioration des conditions de vie, en plus de la réalisation par les pouvoirs publics de projets d'adduction en eau potable, d'assainissement, d'électrification, de santé, d'éducation, d'emploi et tendant toutes vers plus de désenclavement et restent surtout touchées par les mesures visant à leur octroyer des avantages fiscaux intéressants. Avantages induits de par l'application de l'ordonnance n° 01/030du 20 août 2001. Dans l'esprit de ce texte de loi, les zones à promouvoir comprennent les territoires caractérisés par leur faible niveau de développement économique et par l'insuffisance du tissu industriel ou tertiaire.