Suite à notre article « Musique : Revoilà le festival du haouzi », paru le 3 juin dernier, l'interprète de nouba çanaa nous a transmis les précisions suivantes : « J'ai été surprise de trouver mon nom parmi les artistes invités à ce festival, alors que je n'ai jamais été contactée ou consultée. De plus, et à mon grand étonnement, je n'ai pas lu les noms d'interprètes de Tlemcen, alors que la ville foisonne de talents dans ce style. Puisque l'on parle de festival de haouzi, je ne vois pas de meilleurs représentants que les chanteurs du cru. Ceci pour faire la différence entre le haouzi propre à l'école de Tlemcen, le âroubi propre à l'école d'Alger et le mahdjouz propre à l'école de Constantine. Je salue tout de même l'initiative des autorités locales pour l'organisation de cette manifestation culturelle, sachant qu'elles donnent l'occasion aux associations andalouses de se produire pour du bonheur du grand public. » Beihdja Rahal, interprète de nouba çanaa Ndlr : Pour notre part, nous affirmons que pour l'objet de l'article en question, nous nous sommes contentés de nous fier aux déclarations des organisateurs qui avaient programmé, selon eux toujours, Beihdja Rahal dans le festival du haouzi, une interprète qui jouit d'une grande estime dans le milieu artistique et le grand public tlemcénien.