Nouveau président de cour de Chlef La cour de Chlef, qui regroupe également la wilaya de Aïn Defla, a un nouveau président en la personne de Hammouche Mohamed qui exerçait en qualité de président de la chambre administrative de la cour d'Alger. Il remplace Hifri Mohamed, qui a passé cinq années à la tête de la cour de Chlef et qui est appelé à exercer au niveau de la Cour suprême. La cérémonie d'installation s'est déroulée en présence du président de la Cour suprême, Kaddour Berradja, de magistrats de la région, de représentants du barreau de Blida et des autorités civiles et militaires des wilayas de Chlef et de Aïn Defla. Djabir Saïd Guerni reprend la compétition Presque deux années après avoir pris sa retraite et après l'avoir annoncé au cours d'une grande conférence de presse, l'ancien champion du monde du 800 m, Djabir Saïd Guerni revient sur sa décision et compte reprendre la compétition. Saïd Guerni, qui a exercé en qualité d'entraîneur à Dubaï, est rentré en Algérie tout dernièrement. Il va entamer sa préparation en vue des championnats des prochains mondiaux qui se tiendront à Berlin, en août 2009. Certainement en mal de pistes, l'ancien champion veut retrouver les sensations des courses qui lui manquent tant. Le Conseil de déontologie médicale s'insurge Nul ne peut s'empêcher de lire sur les murs, les poteaux électriques et tous les supports possibles l'indication quelquefois à l'aide de flèches de l'existence d'un cabinet médical ou dentaire, une clinique privée et ce, en contradiction totale avec les règles de déontologie édictées par le Conseil de déontologie médicale. Celui-ci stipule dans son règlement intérieur article 77/88 que la plaque indicative ne saurait dépasser une dimension de 25 cm sur 30 cm. Selon le Dr Terkmane, président du Conseil de l'ordre des médecins pour la région de Blida, des mesures vont être prises incessamment pour mettre fin à cette anarchie. « La protection du médecin, de la profession et du patient passent également par le respect de la déontologie et le contrôle doit être omniprésent », déclarera un médecin du service public, aujourd'hui à la retraite. Agression dans la daïra de Dar Beïda Est-ce que le métier de journaliste est un crime en soi ? Justifie-t-il l'agression verbale gratuite de la part d'un commis de l'Etat ? C'est ce que s'est longuement demandé un collègue après une mésaventure dans une administration hier. Sollicitant un fonctionnaire de la daïra de Dar Beïda à Alger, chargé des passeports pour retirer son document, un journaliste s'est fait prendre à partie par cet agent. Ce dernier n'arrêtait pas de m'interpeller en hurlant devant tout le monde : « Vous les journalistes, c'est toujours comme ça avec vous ! », alors qu'il n'y avait rien qui justifiait son comportement, témoigne ce journaliste qui s'est fait humilier devant tout le monde présent à ce moment-là. Pas de visas pour des journalistes d'Arte La limitation de circulation des journalistes étrangers en Algérie continue dans la discrétion totale. Une équipe de la rédaction de la chaîne franco-allemande Arte qui devait séjourner cette semaine à Alger a rencontré un refus de délivrance de visas. Aucune explication n'a été donnée à ce rejet. Les journalistes d'Arte-info devaient réaliser une série de reportages sur la prochaine participation de l'Algérie au sommet de l'Union pour la Méditerranée (UPM) et sur ce qui est attendu de cette initiative. Plusieurs confrères étrangers se plaignent de la difficulté d'avoir accès à des visas pour réaliser des enquêtes ou des reportages. Les correspondants étrangers en poste à Alger eux attendent, pour la plupart, d'avoir des documents pour être accrédités. Les autorités concernées n'avancent aucune raison pour ce retard pesant. Alerte au poisson avarié à Sougueur La ville de Sougueur, dans la wilaya de Tiaret a vécu hier au rythme d'une alerte au poisson avarié, pour laquelle ont été admises quatre personnes d'une même famille, habitant le quartier El Hamri. Une mère et ses trois enfants ont été admis en urgence dans les UMC de l'hôpital Guermit Nacer. La tension reste d'autant plus vive depuis que plus d'une dizaine d'autres personnes, intoxiquées après avoir mangé de la pâtisserie avariée, viennent juste de sortir de l'hôpital. Les représentants de la société civile de cette ville ont tenu à y revenir tout en dénonçant les conditions déplorables de vente de certains produits à risque sur les trottoirs et devant des étals non contrôlés. 56 kg de kif flottant en mer à Arzew Hier, les gardes-côtes ont découvert flottant en mer, à Arzew et Mersa El Hadjaj, 56 kg de kif traité. A Arzew ont été découverts, bien enroulés dans des sachets en plastique, 31 kg de kif traité durant la matinée. En début d'après-midi, le même navire des gardes-côtes a récupéré, à Mers El Hadjadj, un paquet de 25 kg de kif flottant en mer. La quantité saisie a été remise à la gendarmerie qui a ouvert une enquête.