Le porte-parole du gouvernement japonais a annoncé vendredi que trois Japonais sur 17 étaient "en sûreté" et 14 portés manquants, possiblement retenus par des islamistes armés sur un site gazier en Algérie. La compagnie japonaise JGC qui oeuvre sur le site a transmis cette information au ministère des Affaires étrangères, a précisé Yoshihide Suga, lors d'un point de presse. Il n'a cependant pas donné de détails quant au fait de savoir si ces trois personnes ont été libérées ou si elles ont réussi à échapper à la prise d'otages. "Concernant les 14 autres, il y a des informations contradictoires et nous n'avons pas pu confirmer leur situation", a-t-il ajouté.