Lorsque le président de la coordination nationale des enfants de Chouhada, le nommé Khaled Bounedjma nous a accusé d'être des agents de la DRS française, de fils de Harki, nous avions alors fait la lumière sur le parcours de son père durant la guerre de libération nationale Contenu du document : Nous attestons que le nommé Mohamed Bounedjma a : servi comme Harki au 21e 39e RI , 6e Compagnie servi comme AASSE au 21e 39e RI, 6e Cie servi comme Harki au 21e 39e RI- 6e Cie servi au 7e B.C.S. Lorsque le président de la coordination nationale des enfants de Chouhada, le nommé Khaled Bounedjma nous a accusé d'être des agents de la DRS française, de fils de Harki, nous avions alors fait la lumière sur le parcours de son père durant la guerre de libération nationale et ce, en se basant sur les témoignages des enfants de sa région sur le parcours du traître « Mohamed Rahdj » qui avait vendu sa conscience au colonisateur français. Suite à cela, celui-ci nous avait accusé d'avoir manipulé les témoignages de ces moudjahiddines bien qu'ils soient authentiques (audio et vidéos). Et puisqu'on doit présenter des preuves de ce qu'on avance, alors voici le document authentique qui retrace le parcours du traître « Rahdj ». Le document officiel, délivré par la direction du service national du ministère de la défense français confirme que Mohamed Bounedjma, né le 9 août 1928 à Bourached dans la wilaya de Aïn Defla avait servi en sa qualité de Harki dans les rangs de l'armée coloniale. Il avait servi dans plusieurs compagnies militaires françaises. Mohamed Bounedjma avait rejoint, en qualité de Harki, la 21e 39e RI, relevant de la 6e compagnie militaire qui activait dans la région de la Mitidja. Ensuite, le Harki « Rahdj » a été promut au rang d'élément au sein du « AASSE, connu par tous les algériens qui ont vécu la guerre. C'était une unité spéciale de Harkis qui pratiquait même la torture contre les algériens. Ces derniers s'infiltraient parmi les algériens afin d'avoir des informations sur les moudjahiddines et leur mouvements ou sur les opérations que planifiaient ces derniers. Les Harki avait contribué, selon des témoignages, au massacre de trois moudjahiddines dans sa région. Après cette lâche opération, il revint à sa première fonction et repris le titre de Harki au sein de la même compagnie militaire. Il était resté au même poste et dans la même région jusqu'à ce qu'il rejoignit la septième unité B.C.A. une unité militaire chargée de mener des opérations militaires contre les civils et l'ALN, ce qui prouve que le père du président de la coordination nationale des enfants de Chouhada avait pris les armes contre la révolution au sein de la B.C.A. qui menait des opérations militaires contre les moudjahiddines et les civils. Le document délivré par la direction du service national, bureau des archives militaires au ministère de la défense français, signé par le lieutenant-colonel Alain David, directeur du bureau central d'archives militaires et administratifs. Il est délivré aux Harkis et traîtres par le ministère de la défense afin que ces derniers puissent bénéficier de la pension militaire ainsi que d'autres avantages dont bénéficient les Harkis sur le territoire français. Ennahar a pu avoir une copie de ce document qui dément les prétentions du fils du Harki, Khaled Bounedjma qui veut faire de son père un héro et un symbole de la révolution en exploitant et menaçant même certains moudjahiddines afin qu'ils fassent de faux témoignages. Le document mentionne bien le nom et prénom, sa date et son lieu de naissance du Harki Bounedjma, père du président de la CNEC, le nommé Khaled Bounedjma. Que reste-il à cacher sur ce traître qui était au service de l'armée française. Celui dont le fils n'est autre que le président d'une organisation des enfants de Chouhada.