Le Moudjahid Tasaadouda, qui a fait éclater le scandale du Harki et traitre de la révolution Mohammed Errahdj, père du président de la Coordination nationale des enfants de Chouhada (Martyrs), le nommé Khaled Bounedjma, est décédé ce matin après que son état de santé se soit détérioré suite aux menaces de ce dernier qui l'empêchait même de quitter son domicile à Hamrelaïne dans la wilaya de Tipaza. Le défunt a été cloué au lit pendant des semaines, refusant de trahir les martyrs et de voir un traitre faire partie sur la liste des martyrs de la révolution. Après de longues semaines de terrorisme et de guerre psychologique menée contre ce valeureux moudjahid qu'est Abdelkader Tasaâdouda par le fils du traitre Khaled Bounedjma et ses consorts fils de harka et résidus de Hizb frança (parti de la France) en Algérie, le héro Tasaâdouda s'est éteint hier matin à l'hôpital militaire de Aïn Naâdja dans la capitale après que son état de santé s'est détérioré à cause des pressions dont il faisait l'objet après avoir fait éclater le scandale sur la trahison de « Errahdj » qui figure sur la liste des martyrs de Hamrelaïne et contribue à la déformation de l'histoire de cette région révolutionnaire. Les moudjahiddines de cette région avaient éliminé, à cette époque, le traitre, père de Khaled Bounedjma, après que son implication dans des affaires de trahison s'étaient avérée. Ce dernier fournissait des informations à l'armée française et était impliqué dans la mort de plusieurs des martyrs de la révolution dans cette région. Le Chahid (martyr) Abdelkader Tasaâdouda avait ouvert son cœur à Ennahar et avait dévoilé la vérité, attestant lui et d'autres moudjahiddines de la région, que Mohamed Bounedjma, plus connu sous le nom de « Errahdj » était un traitre et un Harki lors de la révolution. Il a été éliminé par le chef de la quatrième région pour son implication dans des opérations contre la révolution. Ammi Abdelkader, Dieu ait son âme, a payé le prix cher dès que l'information a été publiée. Le président de la coordination nationale des enfants de Chouhada, le nommé Khaled Bounedjma « Errahdj », avait alors enlevé le Moudjahid en date du 26 mai aux environs de sept heures du matin dans son domicile au village El Yafoufi Kouider à Hamrelaïne, dans la wilaya de Tipaza. Son petit fils, Kouider Sebati a alors déposé plainte à la sûreté d'El Afroun contre Bounedjma. Bounedjma a ensuite obligé le Moudjahid à le suivre à la maison de la presse pour démentir les déclarations qu'il avait faite à Ennahar, le privant de nourriture et de médicaments. Il l'avait obligé de le suivre aux différents journaux dans le but de démentir les déclarations et l'obliger à faire de fausses déclarations. Le défunt moudjahid n'a pu rentrer chez lui qu'après l'intervention de la police à une heure tardive de la nuit. Ces incidents ont provoqué des complications au Moudjahid qui a du être alité après que de graves symptômes soient apparus sur son corps (des tâches bizarres sur son visage et sur ses mains). Le défunt Tasaâdouda n'a pas pu, à cause des menaces de Bounedjma et de ses chiens, quitter son domicile pour aller à l'hôpital. Bounedjma et ses complices, des responsables de la région, l'empêchaient de quitter son domicile et dès qu'une personne vienne lui rendre visite, Bounedjma et ses chiens de gardes accourent et lui font un questionnaire sur les raisons de la visite. Ces évènements ont contribués à l'isolement du Moudjahid même de sa famille et de ses compagnons de lutte.