Le politicien controversé, Rachid Nekkaz, est « officiellement » accusé de contrebande de Talkies Walkies. « C'est l'accusation Officielle portée par le procureur de Tizi Ouzou », écrit Nekkaz sur son mur Facebook. « Entre El Menea et In Salah, il y a 400 kms de route, sans réseau téléphonique, sans pompe à essence, sans médecins, sans café, sans présence humaine. Pour des raisons de sécurité, il est donc obligatoire et vital d'avoir des talkies walkies pour communiquer en cas d'accident ou de danger sur cette route dangereuse », poursuit-il. Nekkaz affirme ainsi avoir acheté deux talkies walkies qu'il a présentés à la Douane. Ces derniers n'ont pas considéré ce matériel comme étant de « contrebande ». Les talkies walkies ont été ensuite saisis le 21 mars 2015 à Tizi-Ouzou, précise Nekkaz. Rachid Nekkaz affirme cependant être prêt à faire de la prison. « C'est un honneur pour moi de découvrir les conditions de vie des prisonniers algériens après avoir découvert la prison française en mars 2012 pour avoir révélé la corruption des Maires », a-t-il écrit. Nekkaz conclut en informant qu'il est à nouveau convoqué le 25 janvier à 9h30 au tribunal de Tizi-Ouzou.