Un officier de police travaillant au service des archives nationales relevant de la Direction générale de la sûreté nationale DGSN dont le siège se trouve à Hydra, s'est suicidé en se tirant une balle en plein c'ur avec son arme. Selon des sources sécuritaires, le service des archives nationales de la DGSN à Hydra a été surpris, lundi matin vers midi, par le coup de feu dans le bureau de l'officier de police qui a mis fin à sa vie en pointant son arme vers son cœur. Selon nos sources, les raisons de cet acte son inconnues, mais l'hypothèse de pression et « Hogra » subit par l'officier seraient derrière son suicide. Immédiatement après l'incident, le Directeur général de la sûreté nationale, Ali Tounsi, informé, s'est déplacé en personne sur les lieux de l'incident. Selon nos sources, l'officier de police, âgé de 43 ans a passé 25 ans au service de la sûreté nationale. Marié depuis presque quatre mois, après avoir bénéficié d'un logement de fonction. Jusqu'à ce moment, les raisons qui l'ont poussé au suicide sont inconnues. C'est le deuxième suicide en 10 jours. Un policier âgé de 49 ans, relevant de la sûreté de Sidi Aïssa à M'sila, avait mis fin à sa vie en se tirant une balle avec son arme personnelle. Ce suicide coïncide avec la découverte des vraies raisons qui avaient poussées le policier B. Abdelkader qui s'est suicidé il y a 4 mois à Ghardaïa. Dans son testament, le policier raconte qu'il était « victime de grandes pressions de la part de ses responsables, de mauvais traitement et de harcèlement. »