Les concessionnaires automobile en Algérie, accusés d'avoir vendu 500 véhicules utilitaires « Pick Up, à l'ambassade de la Libye en Algérie, ont démenti l'information qu'ils ont qualifié de rumeur ayant pour objectif de ternir l'image de l'Algérie. Selon le directeur général Nissan Algérie, dans une déclaration à Ennahar hier, la vente de 500 véhicules Pick Up à l'ambassade de la Libye n'est qu'une rumeur sans fondements. « Jusqu'à cette heure, nous n'avons pas vendu ce nombre de véhicules », a-t-il dit avant d'ajouter que même si l'ambassade de Libye ou n'importe quelle autre ambassade dont le pays connaît des troubles, désirent acquérir 500 véhicules, cela est faisable à condition que le paiement se fasse en devise nationale, soit le dinar algérien. De son côté, le directeur général de Toyota Algérie, Noureddine Hassaim, a démenti avoir reçu de demande de la part de l'ambassade de la Libye. Dans le cas ou une demande est faite par l'ambassade de la Libye, il nous serait impossible de leur vendre car la politique générale de la maison mère au Japon interdit de vendre des véhicules aux pays qui connaissent des guerre ou des conflits.