Les pays européens ferment toutes les portes d'entrées dans ses territoires en adoptant de mesures sévères contre les Harraga (candidats à l'émigration clandestine), qui tentent de fuir la mal vie dans leurs pays d'origines. Les pays de l'espace Schengen ont décidé de refuser le visa à toute personne ayant essuyé un refus par un autre pays de l'Union Européenne Les pays européens ferment toutes les portes d'entrées dans ses territoires en adoptant de mesures sévères contre les Harraga (candidats à l'émigration clandestine), qui tentent de fuir la mal vie dans leurs pays d'origines. Les pays de l'espace Schengen ont décidé de refuser le visa à toute personne ayant essuyé un refus par un autre pays de l'Union Européenne Selon le consul général de France en Algérie, M. Michel Dejaegher, le taux de refus de délivrance de visa Schengen sera plus élevé pour les personnes qui ont déjà essuyé un premier refus. Dans une déclaration à Ennahar, le consul général a fait savoir qu'avec le nouveau système de collecte d'information sur les demandeurs de visa, par lequel tous les consulats de l'espace Schengen pourront s'échanger les informations, cela permettra de découvrir les personnes qui se trouve en situation illégale en Europe. Les personnes qui ont été refusé le visa une première fois auront moins ou pas de chance d'en avoir un, surtout s'il s'agit de chômeur. Pour M. Dejaegher, cette base de données permettra aussi de définir les personnes qui bénéficient de visa sans risque d'erreur, grâce à ces données qui seront enregistrées, en plus des données biométriques, la photo et les empreintes qui seront conservées même en cas de refus de visa. Les chômeurs universitaires et les personnes ayant perdu leurs postes de travail ne sont pas concernés par ces mesures, selon le consul qui ajoute dans ce sens, que le consulat français délivrera des visas courtes durées aux personnes qui remplissent les conditions nécessaires.