Désaxés. Non, ce n'est pas cette feinte du pivot mais les dérivés, à répétition, de la petite balle algérienne depuis que sa pratique s'apparente à un cafouillage de quartier où tout le monde tire dans un seul... but, celui de l'échec. Dès la fin du Ramadhan, la discipline s'est voulue « renaître » pour les futures échéances. Et c'est l'équipe nationale qui se remet en scène en organisant un stage de trois jours (du 4 au 7 août) où l'on a enregistré l'absence de 7 joueurs du GSP. Là commencent la polémique et les enchères. Le coach national « regrette » l'absence de Slahdji, « boudeur » depuis la liste pour le Mondial. Le gardien donne sa version. Hier, ce sont six joueurs absents, une situation que « regrette » encore le coach par intérim, Rabah Gharbi, qui affirme que tous ont reçu leur convocation. Réponse instantanée du président du GSP, Djaffar Belhocine, qui assure, lui, que le club n'a reçu aucune convocation à ce stage qu'il juge d'ailleurs inutile pour une échéance programmée en janvier 2014, alors que le GSP se prépare pour une compétition internationale pour octobre prochain. A qui adresse-t-on les convocations ? Au joueur personnellement ? Ou d'abord aux clubs où évoluent les joueurs ? L'épisode Derouaz n'est pas fini. Celui d'une EN peut commencer. Où est l'arbitre ?