Cacochyme. Comme ce Portugal qui s'est fait chloroformer, c'est la quatrième fois, par cette Allemagne métallique qui ne réussit pas à Christiano Ronaldo. Une équipe n'est pas une star, fusse-t-elle Ballon d'or mondial. Ronaldo s'est caché. CR7 au point mort. Ro n'a pas enlevé son maillot et montré ses muscles. Ronaldo n'a pas parlé à la presse. Ro mord ses lèvres. Mais Ronaldo est-il déjà mort pour le Mondial brésilien. Déjà les vacances ? Ronaldo ne va pas adandonner la guerre même si l'enfant terrible du Real est arrivé au Mondial dans une forme de « maelström ». Il avait tout donné à l'équipe de Bernabeu, et son coéquipier, Pépé, par ses attitudes « macaroniques » à la la limite d'un zinzin (ne pas confondre avec notre regretté grand joueur de l'équipe FLN et coach impérial de l'Entente du second souffle, Mokhtar Arribi), n'a aidé ni le Real ni le Portugal. Pépé fait dans la sénilité dangereuse. Dans le mâchonnement par l'esprit, les jambes, les bras et même les coups de tête. Lamentable quand on porte le maillot national. C'est une affaire « portugo-Pépé ». Passons. Ou retour aux stars encore « luminosiques » et... Ronaldo dont la flamme tremble à se consumer. Son seul dictame, ce seront deux frappes perforeuses contre l'Amérique et le Ghana. Ce Mondial, comme les précédents, sera aussi teinté du « politico-social », à commencer par le Brésil qui comptera sur son Neymar pour sauvgarder les œuvres d'Oscar Niemeyer. Et la paix sociale. Le parcours est long et tous les présents voudraient « s'offrir » la Seleçao, l'équipe à abattre. Balotteli, le bombino « miracle » de la Squadra Azzurra, ne ferait pas dans la dentelle pour priver le Brésil d'une sixième étoile, qu'il cherchera à coudre sur son propre maillot pour égaler le record de son meilleur ennemi, l'équipe de Pelé. Balotteli sera-t-il le digne successeur de Paolo Rossi ? Pourquoi pas quand on a un Pirlo à ses côtés. Retour à Christiano Ronaldo qui, dit-on, se remet du coup de grisou de l'Allemand Müller (triplé) en pensant rebondir comme Messi, ne serait-ce que pour marquer des points pour le prochain ...Ballon d'or. Mais Messi a déjà pris de l'avance et s'est ouvert des espaces pour sauter en huitième de finale. De paragon du beau jeu, Messi fait dans l'altruisme pour afficher sa maturité. Maradona est au Brésil et « scrute » la « pulga ». Les stars du mondial, pas seulement Neymar, Messi et Ronaldo, ont tous leur modus operandi. Il y aura qu'un qui jaillira dans le soleil de Rio. A Copacabana, on prie pour un face-à-face Neymar-Messi le 12... juillet.