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ILS ONT CHOISI L'ISLAM COMME RELIGION "Leopold WEISS (Mohammad Asad) converti à l'Islam en 1926 " : «L'Islam me paraît comme un chef d'œuvre d'architecture»
Homme d'Etat autrichien, journaliste et auteur, ancien correspondant étranger pour le célèbre Frankfuerter Zeitung, auteur de “Islam at Cross Roads”, “Le chemin de La Mecque” (Fayard éd.) et traducteur du Coran. «L'Islam me paraît comme un chef d'œuvre d'architecture. Toutes ses parties sont harmonieusement conçues pour se compléter et se soutenir entre elles. Rien n'est ici superflu, et rien ne manque, avec comme résultante l'équilibre parfait d'une composition sans faille.» Il est décédé le 20 février 1992. - Bogdan Kopanski (Bogdan Ataoullah Ko) : «Fasciné par la lutte victorieuse des musulmans algériens contre le colonialisme français» J'ai proclamé la chahada, et j'ai fait ma première prière, salat el Maghreb. J'ai alors balayé toutes mes idéologies de pacotille... Américain, d'origine polonaise, docteur en histoire politique, a fait un parcours très intéressant vers l'Islam et a affronté de sévères épreuves ; a été deux fois emprisonné par le régime communiste polonais (1965, 1981-82). «Quand j'avais 12 ans, je rejetais la foi contradictoire et illogique de l'Eglise. Deux années plus tard, en 1962, j'ai été fasciné par la lutte victorieuse des musulmans algériens contre le colonialisme français. C'était la première “flèche de l'Islam” à me toucher. Durant mes études secondaires et à l'université, j'étais un exemple typique de la génération de rebelles rouges (communistes). Mon cheminement vers la Vérité du Saint Coran était lente et imprévue... En 1974, j'ai visité la Turquie, je préparais ma thèse sur la politique du Sultan et Calife Suleiman Kanunis envers l'Etat polonais. Je fus alors surpris par la plus mélodieuse voix que l'humanité puisse produire : l'Adhan, l'appel à la prière par un muezzin. Mes cheveux se sont dressés sur ma tête. Une force étrange mais puissante me conduisit à la vieille mosquée d'Istanbul. Là, de vieux Turcs barbus et souriants m'enseignèrent le wodhou (ablutions). J'ai proclamé la chahada, et j'ai fait ma première prière, salat el Maghreb. J'ai alors balayé toutes mes idéologies de pacotille... Pour la première fois de ma vie, j'ai éprouvé une telle félicité, et je ressentais le plaisir de l'amour d'Allah dans mon cœur. J'étais un musulman...».