Rappelons que « Kaamelott » s'inspire de la légende arthurienne, qui se passe en Bretagne à la chute de l'Empire romain, sur laquelle règne le roi Arthur en son château de Kaamelott, entouré de ses Chevaliers de la Table ronde. Et Djaâfar Gacem n'a en fait que s'inspirer de cette dernière. Plus encore, d'autres internautes lui reprochent d'avoir effectué le tournage de cette série en Tunisie et non en Algérie. On peut lire d'autres commentaires plus optimistes, comme ceux postés par Khaled Benalla. « C'est une parodie légère sans prétention et qui ne nuit à personne. Franchement, il n'y a pas de quoi faire tout un plat. » Un autre usager écrira : « Ce n'est pas une parodie. La parodie c'est de prendre des images existantes et doubler le son par exemple... Là, il s'agit d'une fiction. Certes, le concept n'est peut-être pas nouveau mais rien ne l'interdit, on aime ou on n'aime pas. Mais accuser de plagiat, c'est ne rien comprendre à ce que c'est que le plagiat. » Partageant cet avis, Yacine Hamdi enchaîne : « Voici une définition de parodier : Imiter quelque chose, contrefaire les gestes, le langage, la conduite de quelqu'un. En tout cas, moi je ris beaucoup en regardant Sultan Achour et c'est l'essentiel. » Les rôles campés dans cette série le sont par des comédiens de renom, Athmane Bendaoud, Sid-Ahmed Agoumi, Salah Ougrout, Souhila Mallem et beaucoup d'autres comédiens. La sitcom inspirée de Kaamelott, raconte, dans un style novateur et divertissant, la tragédie d'une guerre. De prime abord, cette série télévisée de fantaisie historique entremêle comédie et drame. De leur côté, les comédiens ont adoré, encore une fois, la collaboration avec Djaâfar Gacem. Ils partagent le même avis : « Djaâfar Gacem est un véritable professionnel. Une bonne ambiance règne sur les plateaux qu'il dirige. » Par ailleurs, il faut saluer la haute qualité technique de cette série ainsi que le jeu parfait et excellent des comédiens qui ont surpris plus d'un, notamment Salah Ougrout, dans le personnage du Sultan Achour El Acher, ou encore Souhila Mallem, qui campe le rôle de la princesse. La verve artistique de Djaâfar Gacem demeure intacte. Il est passionné et surtout innovateur. Il a signé plusieurs productions télévisuelles, à l'exemple de deux sitcoms : « Nass M'lah City » et « Djemaï Family », un feuilleton dramatique « Mawiid Maâ El Kadar » ou encore une caméra cachée « Wesh Dani ». Bravo l'équipe !