« à la veille de la tenue de la réunion à Alger de la 3e session du comité intergouvernemental de haut niveau algéro-français, une campagne malveillante et fallacieuse a été déclenchée. Elle a atteint son paroxysme avec des manipulations diffamatoires délibérément dirigées contre l'institution présidentielle au lendemain de la fin des travaux du comité », ont souligné, hier, l'UGTA et le FCE dans une déclaration commune. « Indignés par ces agressions sournoises et irrespectueuses envers notre pays et ses institutions républicaines, l'UGTA et le FCE affirment qu'ils ne peuvent rester indifférents et silencieux devant de telles attaques et violences contre la souveraineté nationale ». L'UGTA et le FCE « rappellent aux auteurs de cette cabale de noircissement de nos institutions, que le mal dont ils sont les concepteurs ne peut atteindre, ni ébranler la confiance des travailleuses et des travailleurs algériens et de leurs entreprises en leurs institutions, ni en leur Président qu'ils ont choisi démocratiquement par la voie des urnes ». Ils rappellent à « ces promoteurs de la fitna et du printemps arabe que l'Algérie et ses institutions républicaines sont sacrées, et qu'ils s'opposeront et se soulèveront contre toute velléité et démarche égocentrique pour leur nuire ». « L'adhésion de la nation à la construction d'un développement national durable pour faire de notre pays une puissance économique et sociale conduite par la volonté de son Président depuis 1999, avec ses retombées dans le domaine social par l'évolution positive de la qualité de vie des travailleuses et des travailleurs, des retraités et de nos concitoyennes et concitoyens, est inébranlable », affirment l'UGTA et le FCE. Ils soulignent que le peuple algérien « n'acceptera aucune agression à l'endroit des institutions nationales ».