• Bejaia : Séisme de magnitude 2,9 ressenti au nord-est de Seddouk Une secousse tellurique de magnitude 2,9 sur l'échelle de Richter s'est produit samedi à 00h 02 (heure locale) au nord-est de Seddouk (Bejaia), indique le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué adressé à la rédaction. L'épicentre de la secousse a été localisé à 5 km au nord-est de Seddouk, selon la même source. • Premier mur d'escalade aux normes internationales Le premier mur d'escalade en Algérie, répondant aux normes internationales, sera inauguré le mardi 17 mai à 16h30 au niveau de l'ISTS d'Alger. Ce mur, de 9 mètres de haut et de 15 mètres de large, permettra de vulgariser la discipline auprès des étudiants issus des différentes wilayas du pays. Il donnera l'occasion aux adeptes de ce sport de se familiariser avec l'escalade en vue de sa pratique en milieu naturel. Il est à noter que beaucoup d'algériens sont férus de cette discipline pratiquée particulièrement dans les monts du djurdjura. La Fédération algérienne du ski et des sports de montagne (FASM) a, dans cet ordre d'idées, organisé récemment un stage d'escalade dans les gorges de Kherrata. • Al Jazeera : Khadidja Benguenna sur le départ ? Une folle rumeur circule dans les couloirs d'Al Jazeera, la présentatrice algérienne, Khadidja Benguenna aurait quitté la chaîne. Officiellement elle est en congé, mais selon d'autres sources, elle est à Dubaï où elle prend du recul. Il faut dire que Khadidja n'est pas en bons termes avec sa direction après avoir pris la défense des présentatrices non voilées démissionnaires d'Al Jazeera. Khadidja Benguenna était une icône dans le Monde arabe, pour avoir été la première présentatrice arabe d'Al Jazeera à mettre le hidjab. Son ralliement aux insoumises avait été mal perçu par la direction. Six mois après cette affaire: cinq des neuf signataires claquent la porte, tandis que l'auteur de leurs tourments, Ayman Jaballah, est muté à la tête d'Al Jazeera Live. Si l'information de son départ d'Al Jazeera se confirme, elle sera la troisième «journaliste vedette» à avoir claqué la porte de la chaîne derrière Louna Chebel et Ghassen Ben Jeddou. • L'empire colonial britannique devant les tribunaux C'est un procès sans précédent qui s'est ouvert à Londres le 7 avril : quatre Kenyans, survivants de la répression contre la révolte Mau-Mau dans les années 50, attaquent en justice l'ancien empire britannique alors puissance coloniale au Kenya. La répression britannique visait à démanteler le mouvement Mau-Mau, nom donné aux paysans sans terre de l'ethnie Kikuyu au Kenya, entre 1952 et 1960. A la suite de huit ans de procédure judiciaire, et 48 ans après l'indépendance du Kenya, la plainte a été étudiée pendant près de deux semaines par la Haute cour de Londres. L'ancienne puissance coloniale est accusée «d'actes inqualifiables de tortures et mauvais traitement». Les plaignants veulent des excuses de la part du gouvernement britannique et la création d'un fond en faveur des victimes de la répression. Les plaintes sont soutenues par le Conseil des droits de l'Homme Kenyan (CDHK). La décision de la Haute cour britannique sur cette affaire, à savoir si un procès complet doit avoir lieu ou pas, devrait être rendue au mois de juillet. • Le Français tué à Benghazi, un mercenaire ? Le Français tué jeudi à Benghazi est un ancien militaire. Agée de 47 ans, Pierre Marziali, la victime, avait fondé en 2003 la Secopex. Une société qui a la réputation de recruter des ex-militaires pour se livrer à des activités qui touchent parfois au mercenariat, notamment en Afrique. Sur son site, la société dit travailler avec des Etats et des entreprises qui veulent protéger leurs intérêts dans des zones instables ou en guerre. Selon des sources spécialisées, les activités de la société ont à plusieurs reprises suscité l'intérêt des services de renseignement français, la Direction centrale du renseignement intérieur et la direction de la protection de la sécurité de la Défense.. Avant sa mort, Marzali était en contact avec le CNT de la rébellion libyenne, a annoncé son entreprise. Celle-ci souligne que le Conseil avait «demandé un soutien en formation et en matériel». Parmi les quatre personnes arrêtées figure l'ex-agent de la DGSE Pierre Martinet, «ancien sous-officier du service action de la DGSE», selon Guisnel, chroniqueur de l'hebdomadaire français Le point.