Les unités algériennes de production pharmaceutique ont couvert depuis le début de l'année en cours 38 % des besoins du pays en médicaments, un taux qui ne dépassait pas 27 % durant les années précédentes, selon le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière. Ce bond quantitatif a permis à l'Algérie d'économiser quelque 200 millions d'euros sur la facture de médicaments. L'Etat continuera de soutenir les investisseurs qui s'impliquent sérieusement dans cette nouvelle ère de promotion de médicaments génériques et l'importation de médicaments décroîtra au fur et à mesure de la généralisation de la production de ces médicaments.