n Selon le président de Nada, son réseau veut impliquer les parlementaires et les élus locaux quelle que soit leur tendance politique dans la défense des droits de l'enfant. «Nous voulons les impliquer dans cette dynamique et qu'ils soient porteurs de ce droit», a-t-il souligné les appelant à porter avec le réseau les revendications vers l'amélioration des droits de l'enfant. «La société algérienne n'est pas bien informée sur les lois concernant les mariages mixtes par exemple, car nous avons vu plusieurs situations de conflits. On veut être avec eux en tant qu'acteurs. On veut également développer tout un travail international par rapport au comité international des droits de l'homme dans lequel l'Algérie présente, tous les 3 ans, un rapport sur la situation des droits de l'enfant.» Un enfant qui vient avec une détresse et n'est pas accompagné voit, selon M. Arar, que le meilleur moyen est la violence. «Il faut que tout le monde soit à l'aise dans sa mission, notamment la famille, l'école et l'enseignant.»