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Suspense
La mystérieuse affaire de Styles (13e partie)
Publié dans Info Soir le 31 - 05 - 2011

Résumé de la 12e partie n En sortant de la poste, Hastings est agréablement surpris de croiser son ami Poirot...
Et, tout en cheminant, je leur narrai les exploits et triomphes d'Hercule Poirot.
Nous arrivâmes à Styles de fort bonne humeur. Au moment où nous pénétrâmes dans le hall, Mrs Inglethorp sortait de son boudoir. Elle était agitée et congestionnée.
— Oh ! c'est vous, dit-elle.
— Est-il arrivé quelque chose, tante Emily ? demanda Cynthia.
— Mais non, rien du tout, répliqua Mrs Inglethorp avec humeur. Que pourrait-il y avoir ?
Puis, apercevant Dorcas, la femme de chambre, qui se dirigeait vers la salle à manger, elle l'appela et lui dit de lui apporter des timbres dans le boudoir.
La vieille domestique parut hésiter un instant, puis elle ajouta timidement :
— Madame ne croit-elle pas qu'elle ferait mieux d'aller se coucher ? Madame a l'air très fatiguée.
— Peu-être avez-vous raison, Dorcas. Mais pas encore. J'ai certaines lettres à terminer avant l'heure du courrier. Avez-vous allumé un feu dans ma chambre, comme je vous l'ai dit ?
— Oui madame.
— Alors, je me coucherai aussitôt après le dîner.
Elle rentra dans le boudoir, et Cynthia la suivit des yeux, d'un air ahuri.
— Eh bien, je me demande ce qui est arrivé ? dit-elle, s'adressant à Laurence.
Il ne parut pas l'entendre, car, sans dire un mot, il tourna sur ses talons et sortit de la maison.
Je proposai à Cynthia une rapide partie de tennis avant le souper, et je montai en courant, jusqu'à ma chambre y chercher ma raquette.
Mrs Cavendish descendait l'escalier. Peut-être était-ce un effet de mon imagination, mais il me sembla qu'elle aussi paraissait troublée et mal à l'aise.
— Avez-vous fait une bonne promenade avec le docteur Bauerstein ? demandai-je d'un ton que je m'efforçai de rendre aussi indifférent que possible.
— Je ne suis pas sortie, répliqua-t-elle brusquement. Où est Mrs Inglethorp ?
— Dans le boudoir.
Elle parut se raidir comme pour une entrevue désagréable, et, passant rapidement devant moi elle acheva de descendre et entra dans le boudoir dont elle referma la porte.
Quelques minutes plus tard, je fus obligé, pour aller au tennis, de passer devant la fenêtre grande ouverte du boudoir, et ne pus m'empêcher d'entendre le bout de dialogue suivant Mary Cavendish disait, d'une voix qui trahissait un effort désespéré pour se maîtriser :
— Alors, vous refusez de me montrer cela ?
Et Mrs Inglethorp lui répondit :
— Ma chère Mary, cela n'a rien à voir avec cette affaire.
— Alors, montrez-le-moi.
— Je vous dis que ce n'est pas ce que vous vous imaginez, et ne vous concerne nullement.
A quoi Mary Cavendish répliqua avec amertume :
— Bien entendu, j'aurais dû savoir que vous le protégeriez.
Cynthia m'attendait et elle m'accueillit en me disant vivement :
— Dites donc ! il paraît qu'il y a eu une scène épouvantable ! Dorcas m'a tout raconté. (A suivre...)


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