SI le CSC et le GCM ont retrouvé la D1 après une accession méritée, le CABBA retrouve cette division avec une autre mentalité et d?autres objectifs. La venue d?Aït Djoudi n?est sûrement pas étrangère à cette nouvelle dynamique qu?affichent les Criquets, décidés à relever le défi surtout que l?ex-coach de la JSK et de l?USMA a apporté une nouvelle vision à laquelle tout le monde adhère, même le plus gâté des Bordjis, à savoir Yontcha, qui a vite compris le message. Le CABBA de cette saison est plein d?espoir et aspire à jouer le milieu du tableau. Une chose est sûre, le CABBA frappera fort avec Aït Djoudi qui voudra coûte que coûte prouver qu?il est l?un des meilleurs coachs du pays et ainsi faire d?une pierre deux coups. Quant au CSC, tout repose sur l?apport de sa galerie qui le poussera à faire preuve de vigilance face aux équipes de la D1 et ce, pour ne plus revivre les affres de la relégation. Les Maïza, Medjoudj et autres Ouachem auront à honorer cette confiance placée en eux par les Sanafir même si l?entraîneur Bracci se plaint déjà du manque d?infrastructures au club de l?antique Cirta. Le CSC estime qu?il est apte à figurer dans le milieu du tableau mais au prix de grands sacrifices, sinon la colère des fans constantinois ira crescendo. Enfin, le GC Mascara où l?ex-star des années 80 Beloumi est l?homme à tout faire, brigue le maintien, un objectif qui va avec les moyens du bord. En recrutant des joueurs d?expérience qui évoluaient en D1, Abaci, Bouras, Amaouche Akriche et Guessoum, Beloumi espère faire bonne figure dans le championnat. La seule satisfaction chez les Mascaréens est le côté financier, dont on dit qu?il est assez satisfaisant surtout après la finalisation du contrat de sponsoring avec Toyota. Mais l?argent n?est pas tout en football.