Résumé de la 100e partie n Soraya demande à Samir de l'emmener chez ses parents pour une visite. Celui-ci accepte à condition que son père lui en donne l'autorisation. Soraya se fit rassurante : - Ne t'en fais pas pour le retour, Samir. Ton père passera me récupérer en fin de journée. - Ah ! ça c'est toi qui le dis…Téléphone-lui…S'il te donne son accord, il n'y a aucun problème, je te dis. - Oh ! Merci, je l'appelle…J'ai laissé mon portable dans ma chambre. Soraya se leva et aussitôt le jeune homme fit semblant de chercher quelque chose sur la table pour que son regard ne se pose pas sur son corps qu'il savait majestueux et dont le survêtement qui le recouvrait ne manquerait pas d'en dévoiler tous les contours. Nadia par contre, la suivit du regard jusqu'à ce qu'elle disparaisse au fond du couloir. Et elle fut comblée d'aise en réalisant que son mari ne lui avait pas accordé le moindre regard. Son mari qui lui dit soudain: - Nadia, tu peux venir avec nous, si tu veux… - Mais que vais-je faire chez des gens que je ne connais même pas ? Et puis cela risquerait de déplaire à Soraya. - Mais qui te demande d'aller chez des gens que tu ne connais pas ? Tu feras une promenade avec nous…Et je t'emmène voir mes clients… - Oh ! Non, Samir…Et les gosses ? Tu y as pensé ? Ils rentrent de l'école à 16h aujourd'hui. Qui va leur ouvrir la porte ? - Ah ! Oui…C'est vrai. Où avais-je la tête ? En vérité, Samir savait où il avait la tête. Et il savait qu'il appréhendait de se retrouver seul durant un trajet d'une heure environ avec la bombe humaine qu'était la trop jeune et trop belle épouse de son père ! Celle-ci arriva au bout de trente secondes environ pour lui annoncer qu'elle avait l'autorisation de son père pour qu'il l'emmène chez ses parents. Puis, elle lui tendit son téléphone mobile : - Tiens, il veut te parler. Moi, je vais me préparer rapidement. Le jeune homme prit le téléphone et il entendit son père lui disant : - Samir, ne laisse pas Soraya se rendre les mains vides chez ses parents. Achète-lui un grand régime de dates et trois kilos de bananes ! Et il est inutile que tu montes. Contente-toi de la déposer devant l'immeuble. Le soir, je passerai la reprendre vers 20h lorsqu'il y aura un peu moins de circulation. - D'accord…père… - Allez, bonne route mon grand ; et ne roule pas trop vite…un accident est vite arrivé. - Ne t'inquiète pas, père.