Résumé de la 61e partie n Abdenour arrive au bas de l'immeuble où il habitait. Il a peur de commettre quelque acte irréparable. Abdenour arriva à l'étage où il habitait et il trouva Razika, sa première femme, en train de cogner contre la porte. Comme elle avait le dos tourné, elle ne le vit pas arriver et elle poursuivit son chapelet d'injures et de menaces : - Espèce de vilaine chienne ! Tu crois que tu vas t'en tirer à bon compte ? Tu as réussi à ensorceler le père de mes enfants mais on saura t'arrêter ; tu ne réussiras pas à nous ensorceler nous…. Un des jeunes fils d'Abdenour se mit à tirer sa mère par le bras mais celle-ci s'écria après lui: - Lâche-moi imbécile ! Tu ne vois pas que j'essaie de sauver ton héritage ? - Maman, papa est là ! - Et alors ? Hein ? Qu'est-ce que tu as dit ? Elle se retourna et elle vit Abdenour en train de la regarder avec des yeux mi-amusés, mi-dépités. - Ah ! tu es enfin arrivé…nous allons enfin pouvoir nous expliquer… - Calme-toi, Razika…Nous allons d'abord entrer dans la maison…Nous n'allons tout de même pas discuter au palier. Il sortit son téléphone mobile, sélectionna un numéro et aussitôt une voix de femme crépita dans l'écouteur. - Zakia s'il te plaît ouvre la porte, je suis arrivé… - Non…je ne vais pas ouvrir, se mit à hurler la jeune épouse, j'ai trop peur…. - Mais tu n'as aucune raison d'avoir peur ; je suis là…rien ne t'arrivera. Razika se tourna vers son frère et ses deux fils. C'est une femme qui est très dangereuse ; elle veut nous faire croire qu'elle a peur de nous alors que ce genre de femme n'a peur de rien. - Où es-tu en ce moment Zakia ? demanda Abdenour… - Je suis dans la chambre et j'ai fermé le porte de la chambre à clé…c'est toi même qui me l'as conseillé. - Oui…c'est vrai, mais maintenant, je dois entrer. - Je vais jeter les clés par le balcon et tu les récupères dans la rue… - D'accord…D'accord…. Je descends… Mais attention, ne les jette qu'une fois que tu m'auras vu du balcon. A suivre...