Les capacités globales de raffinage de l'Algérie devront être portées à 45 millions de tonnes/an à l'horizon 2021 au plus tard, et ce, à la faveur de la réalisation de raffineries à Hassi-Messaoud, Tiaret, Arzew et Biskra ainsi que de la réhabilitation de la raffinerie d'Alger. M. Ould Kaddour a fait savoir qu'il y avait actuellement tout un programme de développement de la pétrochimie en cours de maturation qui commencera à prendre forme au début de l'année 2018. M. Ould Kaddour a estimé qu'il fallait «être fier de ce qui se fait en Algérie par les entreprises algériennes : bien que l'engineering soit assuré par des entreprises étrangères, il est bon de savoir que nous avons des capacités de développement locales». Dans ce sens, il a observé que le partenariat restait «un élément de développement économique incontournable», ajoutant que le groupe a besoin de partenaires qui disposent d'une technologie et d'un savoir-faire.