La chambre administrative de la cour d'Alger avait, faut-il le rappeler, déclaré «illégal» l'appel à la grève lancé pour les 19, 20 et 21 février par l'organisation dénommée «coordination intersyndicale (non agréée) et l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unpef)», a indiqué un communiqué du ministère de l'Education nationale. Selon la même source, la chambre administrative de la cour d'Alger qui a pris une décision d'un jugement en référé, a «ordonné l'annulation de la grève». Par conséquent, le ministère de l'Education nationale en appelle «à la conscience et à l'esprit de responsabilité de chaque enseignant» pour, a-t-il souligné, «transcender les positions extrêmes prônées ici et là» et qui «ne peuvent que nuire à l'intérêt de l'élève et à l'institution éducative dans son ensemble».