Nouzaret (MCA), Taelman (JSK), Gigiü (CABBA) et Rubym (USMB). Au premier coup d'œil, les entraîneurs étrangers sont toujours présents : un Irakien (Ameur Djamil du CAB), un Roumain (Gigiü), un Belge (Taelman), un Brésilien (Rubym) et un Français (Nouzaret). Sur les cinq, un seul, Ameur Djamil, a réussi à terminer la saison en ayant la confiance de ses dirigeants, tous les autres ont échoué en cours de route. Trois autres rejoindront l'élite en cours de route : le Français Jean-Yves Chay, à la JSK où il termine champion d'Algérie, le Roumain Dan Anghelescu au NAHD, limogé à quatre journées de la fin, et François Bracci au MCA, pour une pige d'un mois afin de boucler la saison. Les tendances indiquent que les entraîneurs français sont en recul, trois contre quatre lors de la saison précédente (Bracci trois matchs avec le CSC, Rabier six mois avec le MCA, idem pour Coste avec la JSK et six matchs pour Revelli avec l'ESS).