n En cette période de chaleur insupportable, où le mercure ne descend que très rarement au-dessous de 40°, les services sanitaires de la wilaya d'Adrar redoutent la prolifération des maladies à transmission hydrique, et surtout le dangereux paludisme. En effet, l'on a enregistré dans la wilaya 49 cas, soit presque 30% de la totalité des cas recensés depuis janvier 2006 dans toutes les régions du Sud de l'Algérie. Les voies toujours perméables de l'immigration subsaharienne sont de nature, comme nous l'ont signalé des praticiens de la capitale du Touat, à redouter le pire pour toute la région et même au-delà.