Une peine de 20 ans de réclusion a été prononcée par contumace, hier, par le tribunal criminel d'Oran, à l'encontre de B. S. Mohamed qui devait comparaître «pour faux en écriture publique». H. Meriem, la mère de B. S. Mohamed, qui était poursuivie pour usage de faux, a été condamnée, quant à elle, à 3 ans de prison avec sursis. Ce dossier remonte à janvier 2006 lorsqu'une enquête judiciaire a été ouverte à la suite de la découverte d'un faux casier judiciaire établi au nom de B. S. Mohamed. Celui-ci, se trouvant à l'étranger, avait contacté sa mère, lui expliquant avoir besoin d'un casier judiciaire vierge en vue de la régularisation de son séjour dans le pays où il se trouve.