Enigme Qui va succéder à Bacha comme entraîneur du Chabab de Belouizdad ? Plusieurs noms circulent dans l?entourage du club, mais personne ne semble intéressé, en ce moment, de prendre en main les destinées du Chabab. Club de première division, ambitieux, mais souvent décevant, cherche entraîneur capable de rallumer la flamme? Le club belouizdadi, aux méthodes de recrutement assez étonnantes, aurait très bien pu jouer la carte de la piste étrangère du fait que les objectifs tracés par sa direction nécessitent d?enrôler un technicien de métier. A vrai dire, depuis l?annonce du départ de Bacha de la barre technique, les dirigeants belouizdadis éprouvent les pires difficultés à lui trouver un successeur, car le marché des transferts des entraîneurs exerçant en Algérie est au point mort dans la mesure où presque tous les techniciens de renommée nationale ont décroché des contrats à long terme avec leurs nouveaux clubs employeurs. Seul Benzekri est actuellement libre de tout engagement. Cependant, l?ex-entraîneur de la formation de Yemma Gouraya semble réticent à l?idée de rejoindre son ancienne équipe. Tout porte à croire que le président du Chabab de Belouizdad, en l?occurrence Mohamed Lefkir, est condamné à dénicher, dans les plus brefs délais, un technicien de métier qui pourra apporter au Chabab un souffle nouveau pour jouer les premiers rôles en championnat national. Selon nos sources, lors d?une réunion avec l?ensemble des dirigeants du club et en présence du staff technique conduit par Soltani, le président du CRB a décidé finalement de ne pas faire appel à un technicien étranger pour renforcer la barre technique de l?équipe en quête de réhabilitation, surtout après un début catastrophique en critérium national. Pourtant, le premier responsable du CRB a émis le v?u de recruter un coach étranger capable de redonner à l?équipe de Laâqiba sa verve de gagner. Selon une source proche de la formation de Laâqiba, pour des exigences financières, le président Lefkir a finalement opté pour Soltani en attendant de trouver un bon entraîneur en vue de renforcer le staff technique. Selon l?entourage du président, Soltani détient des atouts à faire valoir, d?autant qu?il a toutes les chances de mener à bon port le bateau Chabab. A cet égard, le premier responsable des Rouge et Blanc a renoncé à la piste étrangère, du fait que rarement les clubs algériens de l?élite ont réussi un parcours époustouflant avec leur club employeur, sans oublier qu?il leur faut beaucoup de temps pour s?adapter à notre football qui vit un malaise depuis une décennie.