A chaque fois que l'occasion lui est offerte, le ministre de l'Education n'omet pas de corriger un détail. «La non-reconduction du rachat ne veut pas dire nécessairement exclusion des élèves», répète-t-il fréquemment. Selon lui, l'annulation du rachat a été motivée par le fait de vouloir «garantir une formation en adéquation avec les données cognitives et scientifiques de qualité», tout en ajoutant que le but recherché est de faire de «l'examen du baccalauréat en Algérie un examen de qualité à une valeur scientifique».