La grève n'est pas réservée à l'employé lambda. Andrei Arshavin pourrait s'y mettre s'il n'est pas transféré dans les prochains jours, selon le The Guardian. Pourquoi ? Son club, le Zénit Saint-Pétersbourg, ne trouve pas un terrain d'entente avec Arsenal pour concrétiser son transfert. Cela fait plusieurs semaines que les deux parties négocient. La dernière offre des Gunners est estimée à 15 millions d'euros tandis que le club russe réclame 18 millions. Arsène Wenger reste sur sa position : «Quand vous voulez acheter un joueur, vous allez aussi loin que vous le pouvez mais, quand vous ne pouvez plus, vous ne pouvez plus. On doit accepter le fait que tout le monde a un prix et qu'un acheteur a une certaine somme d'argent et pas plus. Si ça ne marche pas, ça ne marche pas.» Le Français a reçu l'appui de l'entraîneur du Zénith, Dick Advocaat, qui demande aux dirigeants à libérer le joueur. Les deux clubs ont jusqu'au 2 février pour se décider.