La 2e Èdition du prix ´Kaki díorª a ÈtÈ ouverte, hier, en fin d'aprËs-midi, ‡ la maison de la culture Ould Abderrahmane-Kaki de Mostaganem, ‡ líinitiative du commissariat du Festival national du thÈ‚tre amateur. Le commissaire du festival, Djamel Bensaber a soulignÈ que le regrettÈ Kaki est le trait díunion entre la ´halqaª et le ´meddahª parmi les gÈants du thÈ‚tre contemporain en AlgÈrie qui ont confÈrÈ de nouvelles techniques au quatriËme art. Il est le fondateur du Festival national du thÈ‚tre amateur en 1967 et la ´hadhraª, a-t-il ajoutÈ en rappelant le rÙle important du regrettÈ Beldjilali Abdelhalim. Selon les organisateurs, 24 textes de thÈ‚tre entrent en compÈtition pour le prix ´Kaki díorª. Il síagit du prix en or, argent et en bronze, en plus du prix díencouragement.† Le programme de cette manifestation culturelle, qui síÈtale sur deux journÈes, comporte des communications sur líÈcriture thÈ‚trale, ´la mise en scËne dans la halqaª et ´la rÈalisation thÈ‚traleª. Il est prÈvu, ‡ cette occasion, díhonorer quatre acteurs, notamment ‡ titre posthume, les regrettÈs Boudraf Ghali (fondateur du festival), Abou Bouasria (acteur), Bachali Allal (artiste et peintre) de la wilaya de Mostaganem ainsi que le comÈdien Aboubakr Mohamed de Maghnia (wilaya de Tlemcen). En marge de cette Èdition du prix ´Kaki díorª, une cÈrÈmonie de sortie díune promotion díacteurs, composÈe de 32 stagiaires de diffÈrentes wilayas du pays ayant ÈtÈ formÈs en mise en scËne thÈ‚trale, en reprÈsentation et en scÈnographie durant deux annÈes par le Festival national du thÈ‚tre amateur.