Le nombre de génisses importées pour faire augmenter la production laitière est en croissance. En 2013, «l'Algérie a importé 120 000 têtes», a indiqué une source sûre proche de la filière. Selon le ministère de tutelle, les privés ont importé, en trois ans seulement, plus de 65 000 vaches laitières. Toujours d'après cette même source, l'Etat n'achète pratiquement plus de vache. En 2011, il a été enregistré l'importation de 26 000 vaches laitières contre 25 000 en 2010, et 13 000 en 2009. Des niveaux d'importation qui démontrent une prise de conscience, sensible, que l'avenir de la filière lait est dans la production locale de lait cru. Mais ce n'est pas suffisant, indique un spécialiste, car il ne suffit pas d'importer des vaches pour augmenter la production. Il faut assurer une bonne alimentation des vaches. Une condition importante à satisfaire pour espérer faire croître la production laitière, or «une partie de ce cheptel souffre de malnutrition», ajoute-t-il. Et d'ajouter que «les conditions d'élevage et d'alimentation, constituent un frein pour la production du lait cru». L'importation de génisses, une solution intermédiaire Le nombre de génisses importées pour faire augmenter la production laitière est en croissance. En 2013, «l'Algérie a importé 120 000 têtes», a indiqué une source sûre proche de la filière. Selon le ministère de tutelle, les privés ont importé, en trois ans seulement, plus de 65 000 vaches laitières. Toujours d'après cette même source, l'Etat n'achète pratiquement plus de vache. En 2011, il a été enregistré l'importation de 26 000 vaches laitières contre 25 000 en 2010, et 13 000 en 2009. Des niveaux d'importation qui démontrent une prise de conscience, sensible, que l'avenir de la filière lait est dans la production locale de lait cru. Mais ce n'est pas suffisant, indique un spécialiste, car il ne suffit pas d'importer des vaches pour augmenter la production. Il faut assurer une bonne alimentation des vaches. Une condition importante à satisfaire pour espérer faire croître la production laitière, or «une partie de ce cheptel souffre de malnutrition», ajoute-t-il. Et d'ajouter que «les conditions d'élevage et d'alimentation, constituent un frein pour la production du lait cru».