Même si les hommes d'affaires britanniques confirment, de plus en plus, leur souhait d'investir et de tisser des contrats de partenariats avec leurs homologues algériens, ils déplorent l'absence des informations précises sur les opportunités d'investissements ainsi que les besoins des entreprises algériennes. Ce constat émane de Lady Olga Maitland, présidente du Conseil d'affaires algéro-britanniques. Lors d'un point de presse animé hier au siège de l'ambassade de Royaume-Uni en Algérie, M Maitland a même indiqué que les autorités algériennes, à l'instar de M Benmeradi, lui ont promis « de faciliter la tache », sans pour autant les choses changent d'un iota.